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LE TEMPS D'UN RP

Vous en étiez à peau de couille je crois ? .... Voilà comment on les mate. [ft. Aodhàn]

Cheval de Troie
Messages : 1391
Date d'inscription : 08/02/2020
Région : PACA
Crédits : Bazzart

Univers fétiche : Réel - Disney - Fantasy - Surnaturel - Mythologie
Préférence de jeu : Femme
Totally Spies
https://www.letempsdunrp.com/t3582-ton-amie-c-est-moi-je-suis-ton-amie
Cheval de Troie
Dim 28 Fév - 14:18
34643110.jpg
Rémy Wheeler
J'ai 18 ans et je vis à New-York, USA. Dans la vie, je suis étudiante/dealeuse/pute à mes heures perdues et je m'en sors bhein plutôt pas mal quand je ne me fais pas arrêter. Sinon, grâce au fait que je m'en bas la race, je suis une célibataire endurcie et je le vis plutôt bien.

Tu veux la jouer comme ça ?! Pas de soucis ! Tu sauras rien de ma vie non plus, du con !
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Milana Vino:copyright:️ Google

Une fois mêlée à la foule, je ne pense plus à Julien, je ne pense plus à mon premier client qui vient sans doute de prendre le médoc que je viens de lui donner. Je pense que s'il se laisse aller, tout devrait bien se passer. Je ne vous cache pas que j'ai pas vraiment le temps d'être sa nounou, c'est un grand garçon, il a que se laisser porter par la défonce. J'ai pris mon premier cacheton j'avais 14 ans et personne n'était là pour me tenir la main ou vérifier que j'étais toujours vivante, pourtant je le suis encore pour vous le raconter alors inutile que je m'inquiète, tout va bien se passer. Je le chasse de mon esprit avant que le sentiment de culpabilité ne soit trop prononcé. Je commence à boire, un verre, puis deux. On me propose me joindre à la table du bière pong où je suis une championne. Je bois, je ris, je fume. C'est c'est sûr ! Je fume encore et là un gars du nom de Devon commence à me faire les yeux doux. Il est plutôt mon style et notre jeu de séduction me plait beaucoup. On joue au chat et à la souris, on se regarde, se sourit et s'envoie des perches, mais personne ne fait le premier pas, jusqu'à ce que j'allume un joins et qu'il vienne se poser à côté de moi.

"T'as gagné, c'est moi qui suis venu te voir."

Me dit-il en me tendant un verre qui sent d'ici la vodka. Je le prends et en bois une longue gorgée qui me brule de l'intérieur, mais je suis déjà dans un été d'ébriété avancé.

"Ouaip ! D'ailleurs, je me demandais quand est-ce que t'allais finir par le faire."

Il sourit malicieusement et se place devant moi, assise sur une table de billard, il se glisse entre mes jambes et m'embrasse. Totalement stone et bourrée, je me laisse aller, je lui rends son baiser et il devient très vite chaud brulant. On se désire, ça, c'est clair ! Il m'allonge sur la table et commence à me caresser le ventre.

"Hey oh ! Ça va vous ne gênez pas ! C'est pas les chambres qui manquent, alors tirez-vous !"

Il sourit et fait un doigt au mec qui vient de nous dire ça. Il me porte jusqu'à l'étage et nous continuons de nous embrasser pendant ce temps histoire de ne pas faire redescendre la chaleur de nos corps. Une fois dans la chambre, il ferme la porte maladroitement avec son pied avant de me jeter sur le lit. Il se jette sur moi et c'est en quelques secondes que nos vêtements se retrouvent sur le sol.

"Au fait, je fais pas ça gratuitement."

Lui dis-je en retrouvant un semblant de lucidité.

"Ah ouais ?"

Je le regarde sérieusement en fronçant les sourcils.

"Ouais."

Il hausse les épaules avant de commencer à s'occuper de ma poitrine.

"Pas de soucis, je dois avoir quelques billets dans mon jean."

Je souris et me détends. Notre ébat a été long et intense, si bien qu'on a pu alterner avec plusieurs positions pour finalement finir en Andromaque. Assise sur lui, je perds toute inhibition, je le chevauche sensuellement en gémissant, dos à la porte, lui embrasse ma poitrine, me regarde, il a l'air subjugué. On s'embrasse, soupire et puis là je finis par entendre mon prénom. Cette voix me ramène sur terre si violemment que je ne la reconnais pas tout de suite. Mon visage se retourne et la lumière me pique les yeux. Sur le coup, je ne sais même pas où suis-je ou, qui suis-je.

"Putain, mais c'est qui ce gros con ?!"

J'hausse les épaules en ne voulant pas y penser.

"Aucune idée."

Nous finissons notre petite affaire avant qu'il me tende l'argent de sa poche.

"Toi, je veux te revoir, t'as pas envie de passer la soirée avec moi ? Je pense qu'on pourrait bien s'amuser."

Me dit-il en me caressant la joue. Je secoue la tête.

"Je suis là pour me faire du flouz et pour passer un bon moment. Rester avec toi ne m'apportera rien."

Il parut vexé mais finit par comprendre mon résonnement. Il sourit malicieusement avant de me laisser un petit suçon dans le cou.

"Ok, je vais aller retirer alors, on se retrouvera plus tard."

Je rougis en essayant de ne pas laisser paraitre d'émotion.

"Ça marche."

Je me rhabille rapidement et enfile mon fric dans mon sac avant de sortir de la chambre. Un rapide coup d'œil m'indique que Julien n'est pas dans les parages. Je me recoiffe, m'arrange puis je retourne dans la foule. Au loin, je vois le garçon qui est venu me chercher, je m'approche de lui pour vérifier si tout va bien.

"Alors, Robin, comment tu te sens ?"

Il me regarde avec un grand sourire aux lèvres.

"Tu trouves que j'ai des airs de Robin ? Genre je suis un sous fifre ? Non parce que j'ai toujours été le dernier qu'on choisissait, j'ai pas vraiment eu d'amis enfants, maintenant ça va mieux, mais je n’aime pas l'idée que je sois toujours le deuxième sur tout. Je pense que c'est peut-être pour ça que j'essaye d'être le premier partout...."

Ouais, il plane. Je roule des yeux, n'ayant aucune envie qu'il me fasse un compte rendu de sa vie même si je sais que c'est la drogue qui veut ça. Tant mieux, il voulait être plus à l'aise pour parler avec les gens, là il ne sera pas déçu.

"Ouais super, mais je pensais plutôt à Robin des Bois alors détends-toi. Respire et dis-moi, qu'est-ce que tu veux faire ?"

Ni une ni deux, il attrape mon visage entre ses mains et m'embrasse follement avant de me relâcher avec un sourire euphorique. Pour ma part, je réalise à peine ce qu'il vient de se passer.

"Ça, j'avais envie de faire ça depuis que t'es monté dans ma voiture ! Est-ce que tu penses que..."

"Regarde cette fille !"

Je lui montre une petite nouvelle qui a l'air aussi paumée que lui avant qu'il prenne de la drogue. Ce n'est pas que Robin ne m'attire pas, c'est juste qu'il est beaucoup trop gentil pour se laisser emporter par l'ouragan Rémy, je n'ai pas envie qu'il s'attache ou quoi que ce soit. Non, je veux juste qu'il passe une bonne soirée.

"Tu devrais aller lui parler, je pense qu'elle a l'air terrifiée, faut pas la laisser dans cet état !"

Bingo. Ça se voit qu'il a un côté protecteur qui est bien plus fort que lui, même stone, son instinct le pousse à aller vers cette fille pour voir si tout va bien et si on ne lui a pas fait de mal. Voilà, va jouer le héro, me dis-je en souriant puis j'en profite pour m'éclipser.

Je ne me sens pas très bien, je me dis qu'il faut que j'aille dans la salle de bain pour me rafraichir le visage. Je joue des coudes pour me faire un passage entre tous les fêtards puis une fois arrivée dans la salle de bain, je commence à me rincer le visage quand j'entends la porte se fermer à clef. J'ai à peine le temps de relever la tête, que je vois Alexander dans la vitre.

"Comment on se retrouve, salope !"

Je me retourne pour lui faire face.

"Quoi t'en a pas eu assez ?! Fou moi la paix, looser ! T'es vraiment pathétique mon pauvre Alex."

Il devient tout rouge et m'attrape par la gorge.

"À cause de toi, je suis la risée de toute la fac !"

Et il serre.

"T'as eu que ce que tu méritais espèce de connard !"

Il sourit en repensant à ce qu'il m'a fait alors que je commence à suffoquer.

"Ça t'as plutôt servi, tu devrais même me dire merci ! Ton buisness a dû exploser grâce à moi. T'es quand même devenue la pute la plus célèbre du campus !"

Je vais pour lui envoyer une gifle, mais il parvient à l'esquiver, il me retourne et me pousse sur le sol.

"Je t'avais dit de faire gaffe à ton cul, salope !"

Je n'ai pas besoin de vous faire un dessin de la suite des évènements. J'étais seule avec lui, enfermée, j'avais beau hurler, la fête battait son plein, personne ne m'aurait entendu à temps....
Alex mit ce qui me sembla être une éternité, à abuser de moi, puis une fois finit, il s'essuie sur ma robe et se relève pour me regarder de toute sa hauteur.

"La prochaine fois que tu voudras faire la maligne, pense à ce moment en te rappelant que même une petite peut te rappeler la place qu'est la tienne."

Il me dégage de devant la porte avec son pied, me laissant sur le carrelage de la salle de bain. Je l'entends dans le couloir.

"Oh Marty ! Tu dates !"

Sa soirée va continuer comme si de rien était alors que j'ai juste envie de pleurer et de me souler à en crever. Je m'arrange avant de vomir dans la baignoire. Je vomis toutes mes tripes avant de pleurer, je m'autorise à le faire pendant deux minutes avant de me relever et de me rafraichir. Personne ne doit jamais savoir et ne le saura jamais. Ce n'est pas la première fois et je suppose qu'avec le mode de vie que je me traine, ça ne sera pas la dernière, me plaindre ne changera rien, je dois être plus forte que ça. Je dois rendre coup pour coup à cette vie de merde et Alexander Church me le paiera, je vous garantis.

Je me regarde dans le miroir, cette brute m'a tapé et j'ai la lèvre et une partie de la joue enflée. Super. Comment je vais pouvoir gagner mon pain maintenant ? Je soupire. Sale enculé de merde. Au bout de plusieurs minutes, je finis par sortir, j'ai les jambes un peu flageolantes, mais je tente de garder bonne figure. Je me mêle encore à la foule, je danse en buvant, oui, je me laisse transporter par la musique et l'alcool. Je ne veux plus penser à rien. Je danse toute seule même si certains tentent de se rapprocher de moi, mais je les ignore, je les ignore tous ! Il vaut mieux sinon je serais en pleine crise d'hystérie, un couteau à la main, pour essayer de couper toutes les queues présentes jusqu'à assouvir ma soif de vengeance. Mais pour pas finir dans la même prison que mon taré de père, je me contente de me droguer, encore et encore jusqu'à ce que le trou noir commence à pointer le bout de son nez.

Au final, cette soirée m'aura rapporté 2752 dollars ! Bien plus que je ne le croyais. Je ne sais pas comment j'ai fait mon affaire, après qu'Alex soit venu me voir dans la salle de bain, j'ai mis mon esprit et mon corps en pilote automatique, je ne sais pas ce que j'ai pu faire pour gagner cet argent. Quand la soirée commence à toucher à sa fin, tout ce que je sais, c'est que j'ai paumé ma culotte et que ma poche à drogue est vide, c'est que j'ai dû vendre toute la cons' tant mieux alors. Beaucoup de couples se sont formés pendant la nuit et vont déformer honteusement au petit matin. Ou peut-être pas d'ailleurs, sur le canapé, je vois Robin et la fille timide qui dorment enlacés. Tant mieux, j'espère que ça aboutira à quelque chose et qu'il se souviendra que c'est un peu grâce à moi.
Un dernier verre puis je rentre. Près de la buvette, une fille s'approche de moi et me dit :

"Hey ! Tu ne serais pas la coloc junkie de Julien ? Je m'appelle Carmen."

Il est 5h du matin, je viens de passer une soirée plutôt mouvementée, je dois avoir au moins un gramme de chaque drogue dans le sang et dans le crâne. Alors la meilleure amie de Julien qui attend qu'il lui dise oui pour lui sucer la queue, franchement, c'est pas le moment.

"Je m'en bats les couilles."

Lui dis-je tout naturellement, dans toute ma splendeur de Rémy Wheeler. Je bois mon verre d'une traite devant elle pour lui montrer que vraiment, je m'en bats les couilles, puis je la laisse plantée là. Je sais qu'elle ne m'a rien fait ou quoi mais là, franchement, je suis pas d'humeur. Je veux juste aller crever quelque part, d'overdose, d'ivresse, écrasée par un éléphant, ça m'est bien égal.
Je quitte la fraternité comme si plus rien ne pourrait plus jamais me faire sourire. Je titube jusqu'à la sortie puis je commence à marcher jusqu'à chez moi. C'est pas l'idée du siècle, mais je n'ai pas envie d'attendre le commencement des lignes de bus et marcher me fera peut-être décuver et réfléchir. J'en sais rien. Qui sait, je vais peut-être finir par trouver un pont et sauter ?! Je soupire en marchant dans la rue.

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