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LE TEMPS D'UN RP

On est peut-être évolué, mais au fond on est toujours des animaux.

Cheval de Troie
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Région : PACA
Crédits : Bazzart

Univers fétiche : Réel - Disney - Fantasy - Surnaturel - Mythologie
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Cheval de Troie
Dim 21 Fév - 10:33
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Judy Hopps

J'ai 24 ans et je vis à Zootopie. Dans la vie, je suis Lieutenant de police et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à mon travail, ma persévérance et mon courage, je suis célibataire et ça me va plutôt bien car je n'ai pas de temps pour ça..


On est peut-être évolué, mais au fond on est toujours des animaux. - Page 2 Tenor

Quand j’étais enfant, je pensais que Zootopie était un endroit parfait dans lequel tout le monde s’entendait bien et où chacun pouvait être ce qu’il voulait. Il se trouve que la vie est un petit peu plus compliquée qu’un slogan inscrit sur un autocollant. La vraie vie est embrouillée. Nous avons tous nos limites. Nous commettons tous des erreurs. Ce qui veut dire, si on voit le verre à moitié plein, que nous avons tous beaucoup en commun. Et plus on essaiera de se comprendre les uns les autres, plus chacun de nous sera exceptionnel. Mais il faut essayer. Peu importe à quelle espèce d’animal vous appartenez, du plus énorme des éléphants à notre premier renard, je vous implore d’essayer. Essayez de rendre le monde meilleur. Regardez en vous-même et reconnaissez que ce changement commence avec vous. Il commence avec moi. Il commence avec nous tous.

Je m'appelle Judith Laverne Hopps, je suis le tout premier lapin à avoir rejoint les forces de police car je n'ai jamais abandonné mon rêve. Celui de participer au changement, à l'amélioration du monde ! Aujourd'hui, j'ai grandis, j'ai réalisé mon rêve mais je n'aurais pu y arriver sans l'aider d'un rusé renard Nick Wilde. Bien que Nick soit fourbe, sarcastique, égoïste, flemmard, gourmand... Quoi ? Oh pardon.... c'est grâce à son aide que j'ai pu réaliser mon rêve. Maintenant mon acolyte et surtout mon ami nous devons faire face aux clichés et stéréotypes des lapins et des renards. Mais ce n'est pas grave, Nick est la dose de confiance en moi qui me manquait, quant à moi, et bien je présume que je suis la conscience qu'il n'a jamais eu. Si on se complète ? Plus que ça ! Je sais parfaitement que je suis le ying de son yang. Je suis le cerveau et il est... heu....bhein....Il est Nick.


On est peut-être évolué, mais au fond on est toujours des animaux. - Page 2 Bd2a444d8c91e6d72d13c7f0b24f1aef


Judy Hopps :copyright: Google


À mon retour en voiture, Nick ne m'adresse même pas un regard ni même un mot. Ça m'est égal. Je n'ai pas envie de lui parler de toute façon. Les sourcils froncés et les pattes crispées au volant, je suis concentrée sur la route, en fait non, je suis totalement perdue dans mes pensées mais en tout cas je fais croire que je suis concentrée sur la route. Pourquoi ? Parce que je sais très bien ce qu'il pense, il pense que l'ex-adjointe au maire n'a pas le droit à de la compassion après ce qu'elle a fait. Seulement, si nous nous arrêtons à chaque fois sur les actes des gens sans savoir ce qui les ont poussés à les commettre, alors Nick n'aurait jamais rejoint la police, je serais sans doute encore complètement traumatisée par les renards et le maire Lionheart ne serait sans doute pas maire. Nick est bien placé pour savoir ce que ça fait d'être jugé uniquement sur son apparence ou sur ses actes et pourtant, cet abrutit de renard buté continue quand même de faire la gueule ! Je marmonne en tapant furieusement sur le volant mais je ne m'en rends même pas compte.

Quand on finit par arriver au commissariat, je descends de la voiture toujours en marmonnant. Mes oreilles sont tantôt droites sur ma tête, tantôt baissées le long de mon visage, ce qui traduit bien toutes les pensées qui me traversent l'esprit. Je passe devant Ben mais ne lui adresse pas un regard, je ne suis pas d'humeur. Direction le bureau du chef, je frappe à la porte, entre et attends que Nick daigne enfin nous rejoindre. Je soupire d'exaspération quand il finit enfin par arriver munie de ses fidèles glaces à l'eau. Je roule des yeux. Du Nick tout craché. Quand je vous disais qu'il ne prend jamais rien au sérieux et en plus il ose me juger. Je rêve.
Je tire une tronche de trois kilomètres ce qui n'échappe pas aux yeux du chef qui fait tout de même mine de rien. Tant mieux, je n'ai pas du tout envie d'étaler nos problèmes de coéquipiers, même si honnêtement je pense que ça bien plus loin que notre équipe, je pense qu'il est question de toute notre amitié.
Je me renfrogne encore plus puis quand le chef nous demande des comptes, je sors mon calepin pour regarder mes notes.

"Nous avons interrogé les parents de Bellwether, apparemment, elle a perdu un frère, tué par un carnivore. Je pense que c'est le déclencheur."

Je marque un temps de pause pour voir ce que le chef en pense, il opine simplement du chef alors je continue.

"Je pense que c'est par là qu'on devrait s'orienter, si on arrive à trouver qui a tué son frère, peut-être qu'elle se montrera plus disposer à coopérer et à répondre à toutes nos questions."

"C'est une excellente idée, agent Hopps. Avez-vous une piste sur qui pourrait être le coupable ?"

Je baisse les oreilles, honteuse de ne pas avoir la réponse moi qui suis toujours première en tout. Seulement si Nick ne s'était pas montré aussi insupportable et enfantin, peut-être qu'on aurait pu avoir la réponse à cette question....

"Non monsieur. Pas encore, mais je pense qu'il faudrait retourner voir ses parents puis peut-être commencer à chercher près des faits divers qui ont été publiés à cette époque, peut-être que l'on trouvera des indices."

Le chef fut d'abord contrarié de mon manque d'infos puis se calma doucement.

"Ça se tient. Vous avez une semaine pour boucler cette affaire si vous ne voulez pas retourner coller des amandes près des parcmètres !"

Je suis au fond du gouffre. Toute ma vie ne tient qu'à un fil et l'autre imbécile irrespectueux est encore en train de déguster sa glace dégoulinante... Trop c'est trop ! Je ne peux plus le voir en peinture ! On finit par sortir du bureau du chef et je ne le calcule toujours pas. En fait, il me soule tellement que je n'ai même plus envie de le voir dans mon champ de....
C'est qui celle la ?! En passant près de Nick, le voit parler avec une louve aussi grande que lui avec une queue immense et touffue. Elle est gracieuse et son uniforme lui va tellement bien. Sur le coup, j'en reste jalousement admirative puis... Sans que je m'y attende, ce sentiment passe et ne reste que la lassitude et l'indifférence. D'un signe de main comme pour dire "Oh et puis je m'en fiche" je me détourne de leur roucoulade pour aller voir Ben.

"Ben, j'aurais besoin que tu me dises quel journal a parlé de l'affaire Bellwether il y a environ 15 ans."

Le guépard me regarde avec de grands yeux rond et un donnut à la main.

"Ouuuuh Judy, tu as vu, Nick parle à Missy !"

C'est donc comme ça qu'elle s'appelle. Super. Merci. Une info dont j'aurais très bien pu me passer. Je tire déjà une gueule d'enterrement, mes oreilles touchent presque le sol et mon visage de blasée exaspérée ne veut pas me lâcher.

"Ben...Le journal."

Il tapote sur son ordi.

"Cha charge !"

Me dit il la bouche pleine avant d'ajouter.

"Missy est incroyable ! Tellement courageuse ! Tu savais qu'elle avait sauvé tous ses coéquipiers du gang des Aligators. À elle toute seule !"

Je m'en fou, Ben. Je m'en contre carre la truffe, pour rester polie. Je n'en ai cure. Je m'en tamponne le coquillage ! Mais je me contente de le regarder comme si je voulais qu'il s'étouffe la tout de suite avec l'air qu'il respire. Je ma frappe le visage de ma patte alors qu'il continue l'éloge de la grande Missy.

"Et tu sais c'est quoi le meilleur ? Elle aurait même..."

"BEN ! EST-CE. QUE. JE. PEUX. AVOIR. LE NOM. DU JOURNAL. S'IL TE PLAIT !"

Dis-je en tapant du poing sur son bureau pour accentuer ma colère. Cette fois il m'a poussé à bout, je n'étais déjà pas d'humeur mais là ma patience a des limites.

"Je...beu...o...Oui bien sûr Judy."

Et te mets surtout pas à chialer ! Je soupire alors qu'un silence de mort s'installe dans le hall maintenant. Super. Benjamin finit enfin par me donner les infos que je lui ai demandées et je me dirige sans un au revoir vers ma voiture de fonction. Je dois quitter la ville car seul un petit journal local avait fait mention de l'incident. Je laisse Nick, mes soucis et l'incroyable Missy derrière moi. Je ne prends pas le temps de me retourner, je soupire un bon coup puis une fois installée devant mon volant je me dis à moi-même :

"Allez Judy, ça va aller. Nick va peut-être changer, grandir et comprendre... Qu'est-ce que je raconte, il va surement se remettre dans ses vieilles combines parce que dans le fond à part ses cochonneries. De fichues. Glace à l'eau. Il n'y a rien qui l'intéresse."

Dis-je en me tapant le front contre le volant comme une folle dingue. Je finis par soupirer puis quand je regarde par la fenêtre, je vois que des collègues me dévisagent étrangement. Normal, je viens de passer pour une folle sur le parking du commissariat. Je rougis avant de mettre en marche la voiture. Je m'éloigne rapidement, déterminée comme jamais. Si Nick refuse d'être un bon coéquipier et bien je me débrouillerai toute seule.



DonJuanAuxEnfers
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Sabrina
DonJuanAuxEnfers
Dim 21 Mar - 16:49
NICK-WILDE.jpg
Nick Wilde
J'ai 28 ans et je vis à Zootopie. Dans la vie, je suis policier et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à mon travail et mes escroqueries, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.


On est peut-être évolué, mais au fond on est toujours des animaux. - Page 2 ROhxh4PeUMNxl8p_i9U44pxWZZQ

Nicholas Piberius Wilde, dit Nick Wilde.
Ancien criminel en col blanc et faussaire. Ses vieilles habitudes le tentent encore. Pourtant il s'est fait la promesse de ne pas recommencer ses escroqueries.

Sa relation avec sa partenaire Juddy Hopps, demeure jonchée de taquinerie et de chamaillerie. Son petit passe-temps préféré ? L'embêter jusqu'à ce qu'elle pète les plombs et devienne aussi rouge que les carottes de ses parents.

Sa fourrure rousse, son ventre et son museau de couleur crème, le bout de ses pattes, de sa queue et de ses oreilles auburn enivrent toutes les renardes de Zootopie.
Ses  yeux vert émeraude et la truffe aubergine attendrissent chaque victime de ses escroqueries.
Même si ses vêtements (chemise hawaïenne verte, cravate bleu foncé striée de rose et un pantalon beige) laissent à penser qu'il se complaît dans la paresse, ce n'est qu'une façade afin d'endormir la confiance de ses proies.

On est peut-être évolué, mais au fond on est toujours des animaux. - Page 2 Giphy


Nicholas Wilde :copyright: DK

- « BEN ! EST-CE QUE JE PEUX AVOIR LE NOM DU JOURNAL S’IL TE PLAIT ! »

La voix de Judy résonne à travers le hall du commissariat. Sa patte s’abat fortement contre le bureau du pauvre Clawhauser. Tout le monde s’arrête. Les regards de nos collègues se concentrent sur sa petite frimousse. Son pauvre interlocuteur bafouille alors que la ravissante Missy m’adresse quelques mots.

- « Quel caractère cette petite lapine ! »
- « Je ne te le fais pas dire… » Rétorquais-je en m’adossant au bar de la cafétéria.
- « Cela se passe bien avec elle ? J’espère qu’elle n’est pas trop difficile à supporter ! »
- « Oh tu sais parfois je la renvoie sur ses carottes ! Et elle sur mes glaces à l’eau. »
- « Vous formez un beau duo tous les deux ! Un peu improbable mais très drôle. Le matin lorsque l’on vous voit arriver tous les deux pour le briefing, on dirait presque que vous travaillez ensemble depuis vingt ans ! » Ajoute-t-elle en croquant à plein dent dans sa barre chocolatée avant de s’éloigner, la queue rasant le sol.

Lunette sur le bout de la truffe et manche de chemise retroussées… Je m’approche de notre glouton préféré.  

- « Qu’est ce qui lui arrive à Judy ? Elle avait l’air énervée… Vous vous êtes disputés ? »
- « Si seulement… Elle doit avoir des carottes sur le feu ! » Glissais-je en riant d’un air moqueur.

Lorsque nous nous disputons, tout est plus simple. Elle s’énerve une bonne fois pour toutes en sautillant dans tous les sens. Je m’amuse à la narguer en dégustant une succulente glace à l’eau pendant qu’elle grimpe sur mon bureau en me sommant de lui répondre de sa petite patte velue, puis tout rentre dans l’ordre. Cette fois… Nos silences demeurent plus sournois que d’ordinaire.

- « En tout cas cette Missy est incroyable. Elle est belle, talentueuse, réservée… J’ai vu qu’elle t’a adressé quelques mots tout à l’heure Nick. Chanceux ! »
- « Cela t’étonnes Ben ? Je suis le meilleur renard de toute la police de Zootopie. »  Le seul surtout.
- « Je vous verrai bien travailler tous les deux à l’occasion ! J’ai entendu dire qu’elle était sur une affaire de faussaire. Tes talents en contrefaçon lui serait très utile. A l’occasion je lui en glisserais quelques mots ! »

J’ai à peine le temps de rétorquer quoi que ce soit qu’il s’empiffre de nouveaux donuts et beignets. J’espère pour lui qu’un incendie ne se déclenchera jamais dans le commissariat. Il serait capable de revenir pour sauver ses gourmandises sucrées au lieu de ses propres fesses.

- « Bon aller je file au lieu d’écouter tes bêtises ! A demain Ben ! »

Sans lui laisser le temps de me répondre je lui tourne le dos et file en direction de la sortie. Mon service s’achève alors que les rayons du soleil continuent d’éclairer Zootopie. Si je me dépêche j’aurais le temps de m’acheter quelques glaces à l’eau supplémentaire. Judy s’occupe de notre enquête. Et compte tenu de notre dispute et du sujet, ma présence n’est certainement pas requise. De toute manière si Judy me croise de nouveau je vais finir pendu ou cloué au mur. Avec un peu de chance elle aura tout oublié demain.

*** Le lendemain matin ***

- « ENCORE ?! SALETE DE MACHINE DE MERDE ! JE VAIS TE… »

La grosse voix rauque du chef Bogo s’élève. Il attrape le distributeur et le soulève au-dessus de sa tête avant de la reposer en me regardant l’air surpris.

- « Une tempête de sable s’est déclenchée dans le quartier de la Tundra pour vous voir de si bonne heure Wilde ? » Me demande-t-il en continuant de brandir fièrement le pauvre distributeur avant de le reposer. « Qu’est ce que vous voulez ? Une augmentation ? »
- « Si c’est si gentiment proposé, pourquoi refuserais-je ? » Répondais-je en léchant ma glace à l’eau matinale.
- « Je vais faire comme si je n’avais rien entendu. Maintenant débrouillez-vous avec cette voleuse de pièce ! »

De la vapeur d’eau fulminent par ses narines alors que ses sourcils se froncent. Sans un mot, ses lourds sabots fendus me tournent le dos avant que la porte de son bureau ne claque. J’extrais de ma poche une pièce sur laquelle j’ai scotché une ficelle. Je l’insère à l’intérieur du mécanisme, sélectionnes mes deux produits puis ils tombent dans le bac l’un après l’autre alors que je tire sur le cordon afin de récupérer ma pièce.  Fier de mon nouveau stratagème je me lèche la patte avant de me passer un coup sur les poils de ma tête. Comme si les évènements de la veille n’existaient plus, je pousse la porte de notre bureau et pose sur celui de Judy son jus de carotte matinale. Avec un peu de chance elle ne me l’enverra pas à la figure.



« Si c’était à recommencer, je te rencontrerai sans te chercher. »
©Crack in time
Cheval de Troie
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Cheval de Troie
Mer 2 Juin - 13:33
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Judy Hopps

J'ai 24 ans et je vis à Zootopie. Dans la vie, je suis Lieutenant de police et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à mon travail, ma persévérance et mon courage, je suis célibataire et ça me va plutôt bien car je n'ai pas de temps pour ça..


On est peut-être évolué, mais au fond on est toujours des animaux. - Page 2 Tenor

Quand j’étais enfant, je pensais que Zootopie était un endroit parfait dans lequel tout le monde s’entendait bien et où chacun pouvait être ce qu’il voulait. Il se trouve que la vie est un petit peu plus compliquée qu’un slogan inscrit sur un autocollant. La vraie vie est embrouillée. Nous avons tous nos limites. Nous commettons tous des erreurs. Ce qui veut dire, si on voit le verre à moitié plein, que nous avons tous beaucoup en commun. Et plus on essaiera de se comprendre les uns les autres, plus chacun de nous sera exceptionnel. Mais il faut essayer. Peu importe à quelle espèce d’animal vous appartenez, du plus énorme des éléphants à notre premier renard, je vous implore d’essayer. Essayez de rendre le monde meilleur. Regardez en vous-même et reconnaissez que ce changement commence avec vous. Il commence avec moi. Il commence avec nous tous.

Je m'appelle Judith Laverne Hopps, je suis le tout premier lapin à avoir rejoint les forces de police car je n'ai jamais abandonné mon rêve. Celui de participer au changement, à l'amélioration du monde ! Aujourd'hui, j'ai grandis, j'ai réalisé mon rêve mais je n'aurais pu y arriver sans l'aider d'un rusé renard Nick Wilde. Bien que Nick soit fourbe, sarcastique, égoïste, flemmard, gourmand... Quoi ? Oh pardon.... c'est grâce à son aide que j'ai pu réaliser mon rêve. Maintenant mon acolyte et surtout mon ami nous devons faire face aux clichés et stéréotypes des lapins et des renards. Mais ce n'est pas grave, Nick est la dose de confiance en moi qui me manquait, quant à moi, et bien je présume que je suis la conscience qu'il n'a jamais eu. Si on se complète ? Plus que ça ! Je sais parfaitement que je suis le ying de son yang. Je suis le cerveau et il est... heu....bhein....Il est Nick.


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Judy Hopps :copyright: Google


J'étais tellement en colère qu'il m'aura fallu moins d'une heure pour retourner dans la ville de Bellwether. Une fois là-bas, je constate que le centre-ville est différent de la campagne de ses parents. C'est vrai, la campagne est rassurante et calme, je n'y ai vu que des herbivores qui cultivent leur terre. Mais en ville, les carnivores s'y font plus nombreux et n'ont pas l'air véritablement commode. Quand je passe dans les rues en voiture de fonction, je sens les regards menaçants peser sur moi. Je commence à me dire que ce n'était peut-être pas une bonne idée de venir ici toute seule, mais maintenant que j'y suis, je ne peux plus reculer. Je ne suis qu'à quelques mètres du journal local, je passe juste poser quelques questions puis je retourne fissa à Zootopie pour prévenir le chef que cette ville est bien trop menaçante pour la communauté ! C'est dingue, il faut faire quelque chose pour rétablir l'ordre de cette ville, la différence des espèces est clairement prononcée est ce n'est pas ce pour quoi je me bats chaque jour.... Je pensais vouloir le bonheur et la paix de Zootopie mais en réalité, je veux le bonheur et la paix dans le monde et si je peux y participer, je ne me gênerais pas. C'est ça pour moi être un véritable Agent des Forces de l'Ordre.

Les oreilles collées le long de mon corps, je me fais discrète parmi tous ces prédateurs. Je gare ma voiture au pied des escaliers du journal puis je sors et fais mine de marcher normalement en camouflant ma panique naissante. Je ne veux pas leur montrer qu'il m'intimide, je suis lieutenant de police après tout. J'entre dans le journal avec une détermination sans faille, prête à affronter les pires horreurs !
Je tombe des nues quand la femme qui m'accueille est une lézarde qui.... Comme le dirait Nick : Est sans doute déjà en train de prendre un rendez-vous avec le Seigneur. Cette pensée me fait légèrement sourire, c'est vrai qu'on dirait qu'elle attend la mort ! Puis je me mets à rougir, me sentant horrible de penser à ce genre de chose et de trouver cela amusant ! Satané renard !

"Heu.... Bonjour ?"

Pas de réponse. Je m'approche du bureau d'accueil et appuie une fois sur la sonnette. Ding.

"Bonjour ? Est-ce que...heu... Vous êtes toujours en vie ?"

Une mouche vient de se poser sur son œil ouvert ce qui me fait reculer d'un pas, de dégout. Puis sans que je m'y attende, sa langue choppe la mouche sans qu'elle puisse rien y faire. Elle n'avait aucune chance de s'échapper et j'ai à peine pu voir les yeux horrifiés de la mouche avant de la voir disparaitre dans la bouche de la ville lézarde.

"Ok....Je crois que c'est le truc le plus effrayant que j'ai vu dernièrement..."

Je tente de reprendre mon sang froid puisque visiblement elle est vivante.

"Bonjour...heu....Je m'appelle Judy et je suis lieutenant de police à Zootopie. Je suis ici dans le cadre d'une enquête et j'espérais que vous puissiez m'aider ?"

Elle se contente de braquer son regard vers moi. Et encore, pas exactement, son œil droit regarde le plafond et son œil gauche regarde au-dessus de mon épaule. Cette femme me donne froid dans le dos. Sans compter que pour un journal, je trouve le bâtiment bien calme.....
Tout en moi me dit de rebrousser chemin, mais je ne peux pas, pas maintenant, je suis sûre de trouver des réponses ici, je ne peux pas prendre le risque de les laisser me filer entre les mains.

"S'il vous plait, j'aurais seulement besoin du journal parut à cette date-là."

Je lui montre la date sur un bout de papier et elle y jette un œil, mais véritablement un œil. Le gauche.

"C'est sur la mort d'un jeune mouton, ça vous dit quelque chose ?"

Vous allez peut-être me trouver folle, mais l'espace d'un instant, j'ai vu de la panique dans ses yeux. Puis j'ai entendu qu'elle a appuyé sur un bouton sous son bureau puis tout est allé très vite. J'ai vu deux personnes sortir de nulle part, un alligator et l'autre je ne sais pas. Je me souviens avoir ressenti une vive douleur à l'arrière de la tête puis plus rien.

***

Le lendemain matin, je me réveille attachée à une chaise. Je suis encore un peu dans le coaltar et je n'ai aucune idée d’où je suis. Mon cœur commence à palpiter et je tente de me calmer pour ne pas faire de l'hyperventilation ou pire une crise cardiaque.

"Ok, ok. Ça va aller Judy. Ben sait que tu voulais l'adresse du journal. Nick va remarquer ton absence et va venir te chercher !"

Puis je me souviens de ma dispute avec Nick et toute ma colère revient.

"Nick ne viendra pas. Nick ne viendra pas, car être flic ça l'intéresse pas... Nick ne s'intéresse qu'à Nick."

La tête ballante, je laisse mon cœur accepter cette triste vérité et la colère laisse place à la peur et à la tristesse. Je ne le reverrais peut-être plus jamais, je vais sans doute mourir ici, mon rêve aura été bien court.... Et ce qui me fait vraiment partir en sanglot, c'est de me dire que le dernier souvenir que Nick gardera de moi, c'est notre dispute. Quant à Benjamin, pauvre Ben.... Son dernier souvenir sera de m'avoir vu lui crier dessus pour la toute première et sans doute la dernière fois....
Mes sanglots sont incontrôlables, ma famille, mes amis, le chef Bogo, même mes voisins vont me manquer....

"Si j'avais pu.... Si j'avais pu leur dire à tous combien je les aime..."

Je continue de pleurer pendant quelques minutes quand j'entends que l'on frappe à la porte de ma cellule.

"C'est pas bientôt finit ces pleurnicheries ?! Relax, lapin, tu vas pas mourir tout de suite, le boss a quelques questions à te poser d'abord."

Je tente de me calmer et de me concentrer. Je hume l'air de toutes mes forces et je me concentre comme si ma vie en dépendait, ce qui est clairement le cas. Je sens l'odeur de mon garde, c'est l'alligator de tout à l'heure, j'en suis certaine et il est seul. Je regarde autour de moi, je suis dans une salle qui autre fois devait être une cuisine ou une salle de bain. Mes yeux observent de partout à une vitesse folle, je tente de trouver le moindre bout de quelque chose qui me serra utile dans ma fuite ou pour me défendre.
Mais je ne trouve rien, je désespère avant de constater que ce ne sont pas des chaines qui m'entrave, mais une corde !

"Bande d'idiots."

Ce n'est pas ce que j'aurais voulu faire, mais je n'ai pas le choix, aussi, je me mets à ronger la corde le plus que je peux. J'ai de la corde entre les dents, j'ai immonde comme gout, mais je n'ai pas le droit de faire la fine bouche, c'est déjà une chance inespérée !
Je ronge encore et encore jusqu'à ce que je sente la corde suffisamment fragile pour me libérer. Les idiots pensaient que leur pauvre corde suffirait, ils n'ont même pas prit la peine de barricader le reste de la pièce. Aussi, dans le plus grand des silences, je me déplace petit pas par petit pas jusqu'à la fenêtre la plus proche.

"Oh mon Dieu...."

Je dois être au troisième ou au quatrième étage... Je n'ai pas le choix... Sans prendre le temps de réfléchir, je saute.... Et atterrit dans une benne à ordure avant de perdre connaissance.

***

Je me réveille dans une maison inconnue en panique.

"Où suis-je ? Qu'est-ce qui s'est passé ?"

"Calmez-vous agent Hopps, vous êtes en sécurité. Vous avez une jolie blessure à la jambe, mais je m'en suis occupée. Reposez-vous maintenant."

Je ne sais pas qui m'a parlé et je retombe dans les vapes. Décidément cette mission aura été un échec du début à la fin. Nick a peut être raison.... Je me suis peut-être gourée dans mon jugement.... Peut-être que Bellwether est monstre qui pour seule justice mérite d'être enfermée toute sa vie ? Je n'en sais rien... Je ne sais plus quoi penser. J'ai l'impression de remettre toute ma vie en doute.... Si je ne suis pas capable de reconnaitre les vrais monstres alors je n'ai sans doute rien à faire dans la police.

Quand je finis par émerger, la journée est bien entamée. Je me redresse sur le lit en étant plus dépitée que jamais. C'est la première fois que ça m'arrive, mais j'ai l'impression de ne plus avoir de raison de vivre, de but à atteindre. Cet échec que je viens de vivre, ma blessure, ma dispute avec Nick, me fait remettre beaucoup de chose en question.

"Oh je vois que vous êtes enfin réveillée. Vous avez repris des couleurs, c'est merveilleux."

C'est la femme qui m'a aidé, je la regarde attentivement, c'est une dame d'un certain âge, c'est une lynx. Mes vieilles habitudes m'auraient conduit à poser machinalement la main sur mon spray anti-renard, mais pas cette fois. Cette femme m'a sans doute sauvé la vie, je n'ai aucune raison de me méfier d'elle.

"Je vous remercie de m'avoir sauvé, mais.... Qu'est-ce qu'il s'est passé ?"

La ville dame s'assoit en face de moi et me serre une tasse de thé.

"Et bien, je travaille dans le bâtiment d'à côté de là où je vous ai trouvé. Ce qui fait que nos bennes à ordures sont communes. Quand j'ai voulu jeter mes poubelles, je vous ai trouvé à l'intérieur. Connaissant ce qui se trame dans l'ombre de la ville, je me doutais bien qu'une agent de police dans une poubelle n'était pas bon signe. D'ailleurs, j'ai rangé vos affaires précieusement, ne vous inquiétez pas. Mon fils m'a aidé à vous transporter jusqu'ici. Il ne voulait pas, ne voulant pas m'attirer d'ennuis ou s'en attirer à lui ou à sa famille mais... Je ne pouvais pas vous laisser comme ça. Et vous voici. Votre jambe n'est pas cassée, mais la fracture est importante, vous devrez vous ménager, vous reposer et sans doute faire de la rééducation par la suite."

"Quoi ?! Mais je suis agent de police, je n'ai pas le temps de me reposer !"

À peine ai-je essayé de poser le pied par terre que je me mets à hurler de douleur avant de me coucher.

"La douleur vous rappellera à l'ordre. Je pense que rien arrive par hasard, vous m'avez l'air en proie à un profond conflit intérieur. Peut-être que ce temps de repos est justement ce qui vous fallait pour remettre de l'ordre en vous."

Blablabla, vieille bique qui croit tout savoir. Je vais très bien, mon fort intérieur va très bien et je n'ai aucun conflit interne ! Je croise les bras en fronçant les sourcils l'air résolument têtu.

"Qui est Nick ?"

Je me mets à rougir de la tête aux pieds en la regardant.

"Q...Quoi ?"

Elle semble gênée.

"Je suis désolée, c'est juste que vous n'avez pas arrêté d'appeler un certain Nick depuis l'instant où mon fils vous a ramassé jusqu'à ce que vous repreniez connaissance."

Ah oui ? Seigneur, faite qu'il ne soit jamais au courant de ça ou je n'aurais pas fini d'en entendre parler ! Je rougis de la tête aux pieds si bien que mes oreilles se cachent de honte dans mon dos.

"Heu...Je...heu..."

Elle sourit.

"Ça ne fait rien, vous n'êtes pas obligée de me répondre. En tout cas, c'est une personne importante pour vous, car à chaque fois que vous sembliez être en proie à un cauchemar, le fait d'appeler ce Nick vous calmez quasi instantanément. Vous devez avoir une confiance sans limites en cette personne."

Me dit elle avec bienveillance, ce qui ne fait qu'accentuer mes rougeurs. Mais trêve de papotage, tout le commissariat doit être en train de se faire un sang d'encre ! Enfin.... Je n'en sais rien en fait.... Tout ce que je sais, c'est que ça fait maintenant vingt-quatre heures que je n'ai pas parlé à Nick.



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Univers fétiche : Réel/Science-Fiction/Surnaturel/Fantastique/Disney/Autre
Préférence de jeu : Homme
Sabrina
DonJuanAuxEnfers
Jeu 18 Nov - 16:20
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Nick Wilde
J'ai 28 ans et je vis à Zootopie. Dans la vie, je suis policier et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à mon travail et mes escroqueries, je suis célibataire et je le vis plutôt très bien.


On est peut-être évolué, mais au fond on est toujours des animaux. - Page 2 ROhxh4PeUMNxl8p_i9U44pxWZZQ

Nicholas Piberius Wilde, dit Nick Wilde.
Ancien criminel en col blanc et faussaire. Ses vieilles habitudes le tentent encore. Pourtant il s'est fait la promesse de ne pas recommencer ses escroqueries.

Sa relation avec sa partenaire Juddy Hopps, demeure jonchée de taquinerie et de chamaillerie. Son petit passe-temps préféré ? L'embêter jusqu'à ce qu'elle pète les plombs et devienne aussi rouge que les carottes de ses parents.

Sa fourrure rousse, son ventre et son museau de couleur crème, le bout de ses pattes, de sa queue et de ses oreilles auburn enivrent toutes les renardes de Zootopie.
Ses  yeux vert émeraude et la truffe aubergine attendrissent chaque victime de ses escroqueries.
Même si ses vêtements (chemise hawaïenne verte, cravate bleu foncé striée de rose et un pantalon beige) laissent à penser qu'il se complaît dans la paresse, ce n'est qu'une façade afin d'endormir la confiance de ses proies.

On est peut-être évolué, mais au fond on est toujours des animaux. - Page 2 Giphy


Nicholas Wilde :copyright: DK

Crounch crounch. Les joues de Benjamin se gavent de sucreries à une telle vitesse qu’il m’est impossible de compter le nombre de donut qu’il s’empiffre en une journée. Vingt, peut-être ? Enfin… Pour une matinée seulement.

« Ben, tu pourrais faire moins de bruit s’il te plaît ? » Lui demandais-je alors que quelques miettes graisseuses tombaient sur mes documents. D’un rapide mouvement de patte je les chasse en soupirant.

Par-dessus mon épaule, Benjamin continue d’ingurgiter de nouvelle sucrerie. Son pelage demeure recouvert de sucre, et reste de gâteaux.

« Pouah ! » Lâchais-je en tirant la langue. « Comment tu peux manger autant et… »

La porte s’ouvre violemment. La voix de notre Chef bien-aimé, Bogo, tonne. Ses sourcils se froncent violemment. Mes oreilles se dressent. Les regards inquisiteurs de mes collègues me fixent. Qu’est-ce que j’ai encore fait ? Je ne suis arrivé que… Trois, ou peut-être quatre fois, en retard cette semaine.

« LIEUTENANT HOPPS ! » S’époumone-t-il en brandissant sa patte velue. Puis il s’avance l’air déterminé en direction de mon bureau. Benjamin se cache entre trois donuts alors que les narines fumantes de notre chef surplombe mon bureau. « Où est-elle ?! Si maintenant elle se met à vous imiter Wilde… »

Je ne l’écoute même plus. C’est vrai… Où diable est donc passé Judy ? Ce n’est absolument pas son genre d’être en retard ou pire…absente.

« Bon bon… J’ai compris, je vais aller chercher notre carotte nationale dans son champ ! »

« Elle a intérêt d’être morte pour ne pas s’être présenté ce matin ! » Grogne-t-il en continuant de s’agiter dans tous les sens. Puis il claque la porte de son bureau. Le panneau d’affichage en liège tombe. Les punaises s’éparpillent sur le sol alors que tout le monde reprend son travail comme si de rien n’était.

« A tout à l’heure Ben, et ne mange pas tout. Je tiens à avoir ma part ! Je te rappelle que tu me dois sept beignets pour notre partie de poker ! » Je lui adresse un dernier clin d’œil complice avant de rabattre mes lunettes de soleil sur ma truffe.

Carotte doit bouder. Notre dispute de la veille n’est certainement pas étrangère à son absence. Ah la la… Les femmes, je vous jure. Si elles n’existaient pas, notre vie serait beaucoup moins palpitante. Au pieds de son terrier enfin de son immeuble, j’aperçois ses deux amis préférés : les antilopes.

« Police de Zootopie. » Ils s’arrêtent net. Le second percute le premier et renverse son café. Et les voilà parti à se disputer. Mes yeux se ferment alors que ma patte les recouvrent. Par moment mes griffes s’écartent et mon œil s’ouvre. « Pfff… » Inutile de les interrompre, ils sont dans leur petit monde. Après de longues minutes, les deux antilopes s’arrêtent enfin.

« Ah ce n’est pas trop tôt ! J’ai failli m’endormir. Bref… Police de Zootopie. Je suis à la recherche de Judy Hopps, vous ne l’auriez pas vu ce matin par hasard ? »

« Judy vous dites ? Nous ne connaissons pas de Judy !

« C’est une lapine, haute comme trois pomme. Son pelage est gris. Sa truffe rose. Et elle aime toujours avoir raison !

« Ah… Elle ! Il fallait nous le dire plus tôt ! Euuuh non. D’habitude on l’entends appeler ses parents le soir mais là rien. Je crois qu’elle n’était pas là hier soir.

C’est étrange. Ce n’est pas dans son style de découcher. Sauf si… Ah j’ai compris. Mademoiselle Hopps a dû faire des galipettes avec un autre lapin hier soir. Quelle coquine ! Et dire qu’elle prétend être parfaite. Je vais m’amuser à la charrier davantage à présent. La portière de la voiture claque. Mes lunettes de soleil retrouvent ma truffe. Direction le poste de Police. Judy va certainement réapparaître dans quelques heures en prétextant avoir suivi son intuition alors qu’elle se sera amusée avec un autre lapin.
De retour au poste de Police, la lourde silhouette de Bogo se détourne de Clawhauser.

« Wilde ! Au rapport ! »

« Oh… Judy devrait rapidement revenir. »

« Rapidement ? Expliquez-vous ! »

Je n’ai pas envie d’entrer dans les détails d’une soirée torride, alors je soupire en léchant ma nouvelle glace à l’eau.

« Bon aller… Je vais me mettre au travail. A plus tard Ben ! » Sans lui laisser le temps d’ajouter quoi que ce soit je file.

« Ce Renard me fatigue. » Lâche Bogo en regardant l’officier d’accueil.



« Si c’était à recommencer, je te rencontrerai sans te chercher. »
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