Le Temps d'un RP
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LE TEMPS D'UN RP

Don't save me - Darklies-clearminds

Darlingx
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Darlingx
Ven 29 Avr - 13:06
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Vénissia Harrington
J'ai 35 ans et je vis à Buenos Aires, Argentine. Dans la vie, je suis pas fière de ce que je fais et je m'en sors très mal. Sinon, grâce à ma malchance, je suis seule et je le vis plutôt mal.

Vénissia prénom synonyme de l’amour, Est-ce que j’ai été aimée ? Au fond je me le suis toujours demandé, maman s’en est sorti comme elle pouvait, mais arrivé un moment ce n’était plus possible, maman quitte ce monde, maman m’abandonne délibérément et je me retrouve livré à moi-même à l’âge de dix-sept ans. Je m’en sors par miracle, parce que ma meilleure amie a toujours été avec moi, je ne sais pas comment elle a fait, mais elle à réussis à nous trouver un appartement chacune, j’ai pu continuer mes études dans la mode et travailler dans la supérette du coin. Un jour tout s’effondre, les factures s’accumule, l’école que je ne peux plus payer, le travail que je perds et comme si tout ça ne suffisait pas je la perds, elle aussi. Il y’à lui, cet homme si imposant, Ivan qui me veut moi je l’accepte, je sais que ses activités ne sont pas légales, mais au moins grâce à lui je vis une vie de rêve, mais tout s’écroule quand il découvre que j'ai fauté avec une autre femme, quand il sait que jamais ne peut avoir d’enfant alors que son désir le plus grand était d’avoir quelqu’un à qui léguer tous son patrimoine, le dégout dans ses yeux est bien trop grand et c’est sur les trottoirs qui m’envoie parce que de toute façon “Tu n’es rien Vénissia” et que celons lui tout ce qui m’as donné durant nos années d’amour je dois lui rendre. Pas assez d’aide pour m’enfuir, pas les moyens de m’en sortir, même pas assez de courage pour en finir.

Sara Fabel by boite-a-idees
Les dimanches soir c’est toujours les nuits les plus longues, sans doute que leurs femmes bien trop fatiguées de leur routine, de s’occuper des enfants, de la maison, d’eux, sans doute n’on t’elle plus envie de faire d’effort, sans doute qu’ils n’osent pas avouer leurs vices à leur chère et tendre pour ceux qui sont marié en tout cas. Pour les autres, la solitude pèse en fin de weekend, les difficultés de la semaine ou de leur vie en général, tout est bien plus dur le dimanche, tous sont bien plus violent. C’est une habitude au fond tu te demandes vraiment si tu ressens encore les douleurs, si ce n’est pas juste mental, peut être que ton corps est bien trop endolori pour vraiment sentir quoique ce soit. Qu’est-ce que tu es devenus Vénissia ? Regarde-toi, tu fais peine à voir. La nuit a été compliqué sans doute beaucoup trop, tu ne sais pas quelle heure il est la lune n’est pas tout à fais coucher, le soleil pas tout à fait lever c’est le moment où les rue sont le plus calme quelques voitures passent des travailleurs ou des fêtards tardifs et toi tu es là à te trainer jusqu’à chez toi, ta veste fermer jusqu’au-dessus, cette capuche que tu gardes sur la tête et la tête rentrer dans les épaules le plus possible pour dissimuler les marques de strangulations, une demande particulière qui t’avais permis de gagner un peu plus, bien sûr Ivan à récupérer un grosse partie de la somme, te laissant juste de quoi t’acheter à manger pour la journée.  

Ton corps se traines dans l’escalier, ton cœur se serre quand tu passes à côté de sa porte à elle, des années que vous ne vous parlez plus et la douleur est toujours aussi grandes, fuir son regard quand tu la croises, retenir les larmes ou la fuir elle tout court. Tu ne sais pas pourquoi elle est encore là, après tout elle était amoureuse, tu as souvent prié pour qu’elle déménage, mais non elle est toujours là à enfoncer un peu plus le couteau dans la plaie. Tu regardes enfin ta porte, le mot qui s’y trouve Avis d’expulsion, tes effets personnels étalé là “Non, non, non, non svp non...” que tu commences à dire comme s’ils étaient là pour t’entendre, tu sors ta clé les mains tremblantes tentes désespérément de l’enfoncer dans la serrure, mais rien, c’est impossible, alors de rage tu tambourine à la porte à quoi bon ? Tu vas devoir ramper vers Ivan, qu’il daigné bien vouloir t’héberger. Tu rassemble tes affaires comme tu peux, tout avait été balancer là, mais c’est trop, les larmes coulent et tu te laisses glisser contre la porte, sortant de ta poche cette lame de rasoir qui ne te quitte jamais, tu la serre dans tes mains, sentant ta peau s’ouvrir. Tu ne sais pas combien de temps tu restes là, mais au bout d’un moment ton corps te lâche et tu te retrouves allongé au sol...


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Darklies-Clearminds
Mar 3 Mai - 1:24


Iris Featherston
J'ai 35 ans et je vis à Buenos Aires, Argentine. Dans la vie, je suis en roues libres et je m'en sors très mal. Sinon, grâce à ma belle gueule, je suis jamais seule et je le vis plutôt une punition envers moi-même.

Iris, prénom issu de la mythologie grecque, déesse de l'arc en ciel et messagère des dieux. Iris, comme la chanson des Goo Goo Dolls. Comme la fleur de couleur majoritairement mauve. Petite fleur qui a fanée aux effluves d'un parfum de l'autre côté du couloir. Petit être androgyne qui n'a plus aucun repère dans sa vie. Orpheline qui survit de son dur labeur. Qui travaille toute la journée de la semaine et toutes les nuits du week-end. Qui s'échoue dès que la porte se referme sur une amante de passage. Avoir tout essayé pour garder ta meilleure amie avec toi et n'être plus personne, un fantôme, un vestige du passé. L'apercevoir toujours dans un état pire que la fois précédente et ne pas agir.
Ruby Rose by chaussette
La porte s'est claquée sans avoir embarqué avec toi, une énième conquête après ta nuit au nightclub où tu officie comme discjockey. T'es en pilotage automatique dès lors que t'as garé ta voiture en bas du bâtiment. Tu ne remarques rien de plus. T'as besoin d'une douche, d'une clope et d'une bière, peu t'importe l'heure qu'il est, peu importe que le jour commence à se lever. Cette soirée était bizarre. T'as ambiancé toute la boîte mais quelque chose te tracasse. Une sorte de presentiment étrange qui t'empêche de savourer la façon dont t'as été acclamée à la fin de ton set.
Télévision allumée sur une chaîne musicale pour avoir le sentiment d'un peu de compagnie, tu décapsule ta biere avec un briquet et tu allumes ta cigarette, lorgnant l'extérieur pour y guetter les premières lueurs du soleil qui s'éveille quand les gens comme toi vont s'endormir.

Les cloisons semblent bien légères quand aucun son n'émane du voisinage. Si bien que le vacarme dans le couloir, tu le perçois comme s'il était chez toi. Dans mouvement lent de résignation, tu te lèves de ton siège pour voir qui fait ce bordel une fois qu'il est terminé. Et tu la vois, Venissia. Écroulée sur le sol, les poignets lacérés. Adrénaline qui pulse dans tes veines et tu te jettes au sol, vérifie son pouls. Faible mais présent. Tissus de ton haut déchiré pour contenir les plaies qu'elle s'est infligées. « Putain, pourquoi t'as recommencé, hein ? » Ton regard qui scrute autour de toi rapidement. Ses effets personnels, dehors. Une note sur la porte. Il t'en faut pas plus pour comprendre que c'était l'avertissement de trop. Tu soupires et tu la porte en même temps que tu te redresses. Tu rentres chez toi et la dépose sur le canapé le temps de ramasser ses affaires. Tu t'installes dans le fauteuil lui faisant face, attendant son réveil, enchaînant les cigarettes.


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Darlingx
Mar 10 Mai - 18:50
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Vénissia Harrington
J'ai 35 ans et je vis à Buenos Aires, Argentine. Dans la vie, je suis pas fière de ce que je fais et je m'en sors très mal. Sinon, grâce à ma malchance, je suis seule et je le vis plutôt mal.

Vénissia prénom synonyme de l’amour, Est-ce que j’ai été aimée ? Au fond je me le suis toujours demandé, maman s’en est sorti comme elle pouvait, mais arrivé un moment ce n’était plus possible, maman quitte ce monde, maman m’abandonne délibérément et je me retrouve livré à moi-même à l’âge de dix-sept ans. Je m’en sors par miracle, parce que ma meilleure amie a toujours été avec moi, je ne sais pas comment elle a fait, mais elle à réussis à nous trouver un appartement chacune, j’ai pu continuer mes études dans la mode et travailler dans la supérette du coin. Un jour tout s’effondre, les factures s’accumule, l’école que je ne peux plus payer, le travail que je perds et comme si tout ça ne suffisait pas je la perds, elle aussi. Il y’à lui, cet homme si imposant, Ivan qui me veut moi je l’accepte, je sais que ses activités ne sont pas légales, mais au moins grâce à lui je vis une vie de rêve, mais tout s’écroule quand il découvre que j'ai fauté avec une autre femme, quand il sait que jamais ne peut avoir d’enfant alors que son désir le plus grand était d’avoir quelqu’un à qui léguer tous son patrimoine, le dégout dans ses yeux est bien trop grand et c’est sur les trottoirs qui m’envoie parce que de toute façon “Tu n’es rien Vénissia” et que celons lui tout ce qui m’as donné durant nos années d’amour je dois lui rendre. Pas assez d’aide pour m’enfuir, pas les moyens de m’en sortir, même pas assez de courage pour en finir.

Sara Fabel by boite-a-idees
Ce n’est pas la fin, parce que tu n’as pas assez de courage pour faire les coupures dans le sens qu’il faudrait, tu n’as jamais eu de courage ni pour ça ni pour autre chose d’ailleurs. Ce n’est pas non plus un appel à l’aide comme on a pu te le dire des centaines de fois lorsque tu as commencé plus jeune au lycée et qu’on t’ai tombé dessus parce que tu ne pensais pas vraiment à cacher les cicatrices sur tes bras. Tu te contentais d’envoyer balader ses soi-disant adultes qui s’inquiétais, puis tu as commencé à t’ouvrir à des endroits facilement dissimulables. C’est grâce à Iris que tu as arrêté, les disputes devenais incessante, tu ne sais plus comment elle s’y est prise, mais tu te souviens quant au bout d'un certain temps tu n’as plus touché à ta lame de lui avoir dit “T’es magique tu le sais ça ? Je serais morte depuis longtemps si tu n’existais pas bébé” même si elle détestait que tu prononces mots là et pourtant ce n’était que la vérité. Depuis que tout a éclaté entre vous, que ta vie est partie en vrille, c’est ce que tu ressens ton corps est là présent, mais à l’intérieur tu n’existes plus.  

Le froid de la lame sur ta peau et la douleur qui en suis c’est la seule chose que tu es capable de contrôler dans ta vie, d’une certaine manière ça t’apaise. Les émotions de ses derniers temps, la fatigue de ce soir et ce qu’on a fait subir à ton corps, là c’était le coup de grâce trop faible pour ne pas t’écrouler. Tu l’entends sa voix, mais t’es incapable de réagir, la sensation que sa voix te fait plonger encore plus dans le sommeil.  

Le corps endolori, tu te réveilles doucement en grimaçant sentant ton corps endolori et tu ouvres les yeux, d’abord du mal à reconnaitre l’endroit et enfin tu tombes sur elle. La colère remonte immédiatement et tu te redresse sur le canapé, ta main passe dans tes cheveux pour les remettre en arrière et tu remarques tes poignets et tu soupire. Tu regardes autour de toi, comme pour vérifier ce qui as changé, vérifier qu’elle vit seule... “Merci, tu n’étais pas obligé” dis-tu d’un ton froid. Comme si tu savais ou tu pouvais aller. Tu te lèves, la tête tourne et tu tangue un peu, mais tu te rattrape en posant une main sur le dossier du canapé. Tu te diriges vers tes affaires et t’accroupie pour les rassembler, jambes qui ne tienne pas tu finis par t’assoir en tailleur, réalisant encore une fois à quel point tu étais dans la merde. Croire que tu es capable de faire semblant, alors que tu n’as jamais été capable de lui dissimuler quoique ce soit, se doutais-t-elle de tout ce qui se passais dans ta vie ? De nouveau les larmes coulent de plus belle. Tu sais que tu as besoin d’aide, que tu as besoin d’elle plus que jamais trop de fierté pour baisser les armes. “Elle vient aujourd’hui ta connasse ?” tu ne sais pas si elle est toujours dans le paysage, ça faisais longtemps que t’avais pas vu sa sale tête de fouine trainer dans les couloirs...


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Dim 12 Juin - 11:38

Iris Featherston
J'ai 35 ans et je vis à Buenos Aires, Argentine. Dans la vie, je suis en roues libres et je m'en sors très mal. Sinon, grâce à ma belle gueule, je suis jamais seule et je le vis plutôt une punition envers moi-même.

Iris, prénom issu de la mythologie grecque, déesse de l'arc en ciel et messagère des dieux. Iris, comme la chanson des Goo Goo Dolls. Comme la fleur de couleur majoritairement mauve. Petite fleur qui a fanée aux effluves d'un parfum de l'autre côté du couloir. Petit être androgyne qui n'a plus aucun repère dans sa vie. Orpheline qui survit de son dur labeur. Qui travaille toute la journée de la semaine et toutes les nuits du week-end. Qui s'échoue dès que la porte se referme sur une amante de passage. Avoir tout essayé pour garder ta meilleure amie avec toi et n'être plus personne, un fantôme, un vestige du passé. L'apercevoir toujours dans un état pire que la fois précédente et ne pas agir.
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Dans le silence, tu l'as observée. T'étais là à vérifier ses inspirations et expirations, les mouvements du diaphragme pour t'assurer que ça irait, et t'as longtemps fait le point sur tout ce qui a pu se passer pour en arriver là. À ces silences trop longs. À ces fois où tu l'as aperçue sans pouvoir la voir. À cette fierté mal placée qui a tout saccagé jusqu'à maintenant. À la frustration de passer de tout à rien. Un mirage qu'on voit mais dont on ne s'approche pas. Et tes mâchoires se sont serrées. Les souvenirs sont revenus de plus belle dans ton esprit. Du début à la fin. Des premiers jours à la dispute de trop, passant par les hauts et les bas. Par toutes les fois où t'as tenté maladroitement de lui faire comprendre qu'elle devait arrêter ça, jusqu'à y parvenir. Tout ça pour quoi, au final ? Larme qui s'échappe du canal lacrymal. Tristesse et colère entremêlées. Si seulement tu étais restée dans sa vie, peut-être les choses auraient été différentes et plus simples pour elle.

Elle se réveille enfin, signe d'apaisement dans l'esprit qui s'écourte brutalement avec le ton de sa voix. « Comme si j'allais te laisser dans un couloir. » Yeux levés au ciel, tu commences à te demander si elle avait vraiment eu envie de s'en sortir cette fois. Tu la regardes vaciller dans ton salon, jusqu'à s'effondrer au sol. Tu restes assise dans ton siège en l'entendant pleurer, sans doute trop rancunière pour courir vers elle pour la rassurer. Mais sa question te pousse à te redresser pour te placer face à elle, à sa hauteur. « Ça fait bien longtemps qu'elle n'est plus là, Ve. Mais ça, tu l'aurais su si tu n'agissais pas comme si j'étais personne. T'es toujours avec ton enfoiré ? » Parce que ce mec, tu l'as jamais senti. Tu l'as vu maintes fois venir chez elle. Tu l'as entendu presque aussi souvent la traiter comme de la merde. T'as eu envie, bien trop de fois, de débarquer chez elle pour lui dire de mettre un terme à tout ça. De quitter ce fils de pute avant qu'il ne la tue à petit feu. Mais t'as rien fait, parce que c'était plus ton rôle. Parce qu'elle aurait sans doute pas voulu que tu réagisse en étant juste le fantôme de la voisine d'en face.

Mais finalement, tu viens poser tes mains sur ses épaules, fixant ton regard dans le sien. Une demande sans mot d'arrêter cette guerre à la con qui dure depuis trop longtemps. Un aveu silencieux que tu veux la retrouver. Qu'elle te manque.


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Darlingx
Dim 19 Juin - 21:13
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Vénissia Harrington
J'ai 35 ans et je vis à Buenos Aires, Argentine. Dans la vie, je suis pas fière de ce que je fais et je m'en sors très mal. Sinon, grâce à ma malchance, je suis seule et je le vis plutôt mal.

Vénissia prénom synonyme de l’amour, Est-ce que j’ai été aimée ? Au fond je me le suis toujours demandé, maman s’en est sorti comme elle pouvait, mais arrivé un moment ce n’était plus possible, maman quitte ce monde, maman m’abandonne délibérément et je me retrouve livré à moi-même à l’âge de dix-sept ans. Je m’en sors par miracle, parce que ma meilleure amie a toujours été avec moi, je ne sais pas comment elle a fait, mais elle à réussis à nous trouver un appartement chacune, j’ai pu continuer mes études dans la mode et travailler dans la supérette du coin. Un jour tout s’effondre, les factures s’accumule, l’école que je ne peux plus payer, le travail que je perds et comme si tout ça ne suffisait pas je la perds, elle aussi. Il y’à lui, cet homme si imposant, Ivan qui me veut moi je l’accepte, je sais que ses activités ne sont pas légales, mais au moins grâce à lui je vis une vie de rêve, mais tout s’écroule quand il découvre que j'ai fauté avec une autre femme, quand il sait que jamais ne peut avoir d’enfant alors que son désir le plus grand était d’avoir quelqu’un à qui léguer tous son patrimoine, le dégout dans ses yeux est bien trop grand et c’est sur les trottoirs qui m’envoie parce que de toute façon “Tu n’es rien Vénissia” et que celons lui tout ce qui m’as donné durant nos années d’amour je dois lui rendre. Pas assez d’aide pour m’enfuir, pas les moyens de m’en sortir, même pas assez de courage pour en finir.

Sara Fabel by boite-a-idees
Bien sûr qu’elle ne l’aurait pas fait, tu le sais, peut être qu’une partie de toi inconsciemment t’a forcé à rester au milieu de ce couloir, sortir cette lame pour lui hurler à elle que tu avais besoin d’elle plus que jamais. Tu ne veux pas te l’avouer, tu veux faire taire cette petite voix qui te dis de baisser ta garde, mais la fierté à la vie dure, la rancune est tenace, même si ton corps est trop faible à cet instant, si tu sais que tes jambes de plus te porter, que tu ne peux pas sortir de cet appartement sans t’écrouler à terre, t’as envie de prendre tes jambes à ton cou, juste pour lui faire aussi mal que toi tu souffres.

Elle se place face à toi et tu relèves la tête vers elle, enfin, mais tu fuis encore son regard parce que tu sais que dès l’instant où tu placeras tes deux billes dans les siennes tu t’effondras. Elle répond à ta question alors que tu pensais te prendre un vent, elle te dit que la connasse n’est plus dans sa vie depuis longtemps, cette femme qui as pris ta place n’as pas su rester à ses côtés. Tout comme toi. Tu baisse la tête quelques instant, cachant le faible sourire qui se dessine sur tes lèvres, mais elle te retourne la question et ton visage se ferme, tu relèves les yeux vers elle, alors que la colère te ronge. Elle pense que t’es avec lui, ça fait bien longtemps que tu ne formes plus un couple avec cet homme, ça fait bien longtemps qu’il a anéanti ta vie et que tu la laisser faire. “Nous ne sommes plus ensemble” dis-tu simplement en baissant la tête dans tes affaires rangeant plus pour faire illusion, pour t’empêcher de tout lui dire à cet instant.

Espérer qu’elle abandonne, mais ce n’est pas le cas tu sens ses mains sur tes épaules, automatiquement tu relèves tes yeux dans les siens. Alors que tout ton corps réagis à ce contact, que tous les souvenirs heureux refont surface, que ton cœur accélère à tambouriner trop fort dans ta poitrine. Tu baisse la garde, tombant dans ses bras, te recroquevillant contre elle en pleurant tout ce que tu pouvais, tu t’accroche à elle comme si elle allait partir de nouveau. “Je te déteste” dis-tu entre deux sanglots alors que tu n’en pense pas un traitre mot. Plusieurs minutes à rester contre elle, à attendre que tes larmes se calme pour enfin avouer “Ne me laisse plus jamais ou je te mord”


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Darklies-Clearminds
Lun 27 Juin - 10:37

Iris Featherston
J'ai 35 ans et je vis à Buenos Aires, Argentine. Dans la vie, je suis en roues libres et je m'en sors très mal. Sinon, grâce à ma belle gueule, je suis jamais seule et je le vis plutôt une punition envers moi-même.

Iris, prénom issu de la mythologie grecque, déesse de l'arc en ciel et messagère des dieux. Iris, comme la chanson des Goo Goo Dolls. Comme la fleur de couleur majoritairement mauve. Petite fleur qui a fanée aux effluves d'un parfum de l'autre côté du couloir. Petit être androgyne qui n'a plus aucun repère dans sa vie. Orpheline qui survit de son dur labeur. Qui travaille toute la journée de la semaine et toutes les nuits du week-end. Qui s'échoue dès que la porte se referme sur une amante de passage. Avoir tout essayé pour garder ta meilleure amie avec toi et n'être plus personne, un fantôme, un vestige du passé. L'apercevoir toujours dans un état pire que la fois précédente et ne pas agir.
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Ce n'est pas parce que le temps a installé cette distance et ce silence entre vous que tu as cessé d'être protectrice avec elle, que tu n'as pas gardé l'espoir infime que tout s'arrange, ou que tout ce que tu as pu ressentir -et que tu ressens toujours- pour elle s'est éteint. D'un côté égoïste, tu es bien contente que ses jambes ne la tiennent pas assez pour qu'elle puisse fuir une fois de plus. D'un autre côté, tu es désolée de constater son état de fatigue émotionnel, pour qu'elle en arrive une fois de plus à tout ça. Et ça fait un mal de chien de constater son état, parce que t'as pas été à la hauteur des promesses faites par le passé, t'as pas su la protéger, t'as pas su la garder, t'as pas su l'aimer correctement, en somme.

Les opales fixées sur elle, son regard fuyant est le vestige omniprésent de la distance entre vous, de la rancœur tenace qui coule encore dans ses veines, alors que toi, t'as lâché les armes à l'instant même où tu l'as retrouvée inconsciente dans le couloir. Avant ça, les armes étaient déjà baissées, mais toujours prêtes à se redresser. Tu connais ses attitudes mieux que personne et tu sens que cette nouvelle la fait sourire alors que sa tête est baissée. Parce que tu sais ô combien elle ne supportait pas la présence de Nikita dans ta vie. Et toi, tu en as voulu à Nikita d'être le fruit de la discorde entre Venissia et toi. Regard perçant de la tatouée quand tu évoques cet homme. Sentiment étrange qui te perfore l'âme. « Alors pourquoi il est souvent présent ? Me dis pas qu'il a une emprise malsaine sur toi, ou j'te jure que j'le bute. » Rage qui envahit ton être instantanément. Mais elle ne voit pas dans ton regard que tu ne plaisantes pas sur ce coup, puisqu'une fois de plus, son regard se détourne.

Premier contact physique entre vous depuis bien trop longtemps, établi par tes soins. T'es la première à céder. Les regards entrent enfin en collision. Tu peux lire toute la rage et toute la tristesse qui émanent de son être, qui laissent place à une forme de nostalgie du passé. Puis tes bras l'entourent alors qu'elle se recroqueville contre toi, laissant ton corps se relâcher sur le sol, laissant les larmes couler silencieusement. Trop fière pour éclater en sanglots. « Je te déteste aussi. » Mensonge éhonté. Tu l'aimes, de tout ton être, de toute ton âme. Ton corps qui fait un mouvement de balancier délicat pour la calmer, sans la lâcher une seule seconde. Deux doigts viennent se placer sous son menton pour la pousser à te regarder. « Plus jamais. Et ça fonctionne aussi pour toi. » L'envie de lui dire qu'elle t'avait trop manqué. L'envie de lui dire que tu l'aimes et que t'as jamais cessé de l'aimer. Garder le silence et laisser ta peau refaire lentement connaissance avec la sienne par des gestes simples. Garder le silence mais laisser ton regard lui crier tout ce que tu ne dis pas.




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Ven 1 Juil - 15:58
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Vénissia Harrington
J'ai 35 ans et je vis à Buenos Aires, Argentine. Dans la vie, je suis pas fière de ce que je fais et je m'en sors très mal. Sinon, grâce à ma malchance, je suis seule et je le vis plutôt mal.

Spoiler:

Sara Fabel by boite-a-idees

Tu t’arrêtes de bouger pendant quelques secondes quand sa question tombe. A-t-il une emprise sur toi ? T’as presque envie de rire quand elle te demande, parce qu’au fond d’elle, sans se l’avouer elle connait parfaitement la réponse. Tu pourrais tout lui dire en cette instant, mais cela la mettrait en danger tu le sais, parce que sa rage ne s’arrêteras pas “T’en fais pas pour ça” dis-tu simplement, alors que tu sais que ses mots ne serviront qu’à se poser plus de question encore. T’as l’intention de partir à cet instant, parce que rester auprès d’elle, dans cette ambiance c’est trop douloureux, mais elle fait le premier geste envers toi et il ne faut que ça pour te faire baisser ta garde, qu’un seul regard pour que tu t’effondre dans ses bras.

Ça fait longtemps que tu n’as plus d’espoir, que tu ne crois plus ni aux signes, ni au miracle, ni à quoique ce soit d’autre que tu t’es résolue à ce que ta vie ne soit qu’une succession de mauvaise nouvelle et de désespoir, mais là dans ses bras tu remets tout en doutes et si c’était le destin qui l’avait mis sur ta route ? Tu ne sais plus quoi penser, la vérité c’est que ton esprit est bien trop dans le brouillard pour que tu ne puisses y réfléchir correctement. Ses mots retourné contre toi te font sourire, pas une seule fois vous n’aviez prononcé des mots qui parlent d’amour, juste ses je te déteste glisser avec le sourire, alors que vos yeux parlaient véritablement.

Ton regard se lève vers le siens au bout de quelques minutes d’un revers de manche tu essuis tes larmes “Je peux utiliser ta salle de bain ?” tu connais la réponse bien sûr, tu commences à te détacher d’elle, mais ton corps ne te porte plus, tu soupire “Enfin, tu peux m’aider … je crois... que je ne pourrais pas le faire seule...” une simple demande qui va te demander beaucoup de courage, devoir dévoiler ton corps qui portes beaucoup plus de marques qu’elle ne pourrait l’imaginer.
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Ven 15 Juil - 22:48

Iris Featherston
J'ai 35 ans et je vis à Buenos Aires, Argentine. Dans la vie, je suis en roues libres et je m'en sors très mal. Sinon, grâce à ma belle gueule, je suis jamais seule et je le vis plutôt une punition envers moi-même.

Iris, prénom issu de la mythologie grecque, déesse de l'arc en ciel et messagère des dieux. Iris, comme la chanson des Goo Goo Dolls. Comme la fleur de couleur majoritairement mauve. Petite fleur qui a fanée aux effluves d'un parfum de l'autre côté du couloir. Petit être androgyne qui n'a plus aucun repère dans sa vie. Orpheline qui survit de son dur labeur. Qui travaille toute la journée de la semaine et toutes les nuits du week-end. Qui s'échoue dès que la porte se referme sur une amante de passage. Avoir tout essayé pour garder ta meilleure amie avec toi et n'être plus personne, un fantôme, un vestige du passé. L'apercevoir toujours dans un état pire que la fois précédente et ne pas agir.
Ruby Rose by chaussette
Tu le sens au fond de toi, que son absence de réponse claire est une réponse en elle-même. Que ce type se sert d'elle, et que pour lui, elle n'est qu'une poupée de chiffon, que le jour où il l'aura épuisée à fond, il en trouvera une autre à qui il fera subir le même sort. « Bien sûr que non, c'est pas mon genre... » Tu roules des yeux mais tu comptes bien agir lorsque le moment opportun se montrera. Cet homme la laissera tranquille à tout jamais, tu en fais la promesse silencieuse.

Ne pas s'avouer les choses, fierté ou peur de trop en dévoiler après tout ce temps. Laisser vos regards et vos gestes dicter la réalité sans que les langues ne se délient. Son regard qui se redresse finalement vers toi après cette étreinte qui faisait autant de bien que de mal. Tu hoches doucement la tête. « Bien sûr que tu peux. » Son corps qui commence à se détacher du tien et tu vois bien qu'elle a du mal. « Allez viens, on y va. » Tu te redresses et tu l'aides à se relever, la tenant pour aller jusqu'à la salle de bain.

Une fois à l'intérieur de cet espace restreint, tu l'aides à se déshabiller, découvre des marques sur son corps. Tu mords l'intérieur de ta joue sans rien dire. Et pour l'accompagner dans la douche, tu te mets en tenue d'Ève, laissant apparaître une longue cicatrice dans ton dos, vestige d'une dispute violente avec Nikita. Finalement, tes doigts viennent effleurer sa peau en douceur.




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Préférence de jeu : Les deux
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Darlingx
Sam 16 Juil - 0:04
Darklies-Clearminds
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Univers fétiche : city
Préférence de jeu : Les deux
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Darklies-Clearminds
Dim 17 Juil - 20:57

Iris Featherston
J'ai 35 ans et je vis à Buenos Aires, Argentine. Dans la vie, je suis en roues libres et je m'en sors très mal. Sinon, grâce à ma belle gueule, je suis jamais seule et je le vis plutôt une punition envers moi-même.

Iris, prénom issu de la mythologie grecque, déesse de l'arc en ciel et messagère des dieux. Iris, comme la chanson des Goo Goo Dolls. Comme la fleur de couleur majoritairement mauve. Petite fleur qui a fanée aux effluves d'un parfum de l'autre côté du couloir. Petit être androgyne qui n'a plus aucun repère dans sa vie. Orpheline qui survit de son dur labeur. Qui travaille toute la journée de la semaine et toutes les nuits du week-end. Qui s'échoue dès que la porte se referme sur une amante de passage. Avoir tout essayé pour garder ta meilleure amie avec toi et n'être plus personne, un fantôme, un vestige du passé. L'apercevoir toujours dans un état pire que la fois précédente et ne pas agir.
Ruby Rose by chaussette
Elle te connait bien trop pour te laisser foncer tête baissée comme tu voudrais d'ors et déjà le faire, comme tu as déjà souhaité le faire de nombreuses fois par le passé, quand tu entendais ce type parler comme une merde à Venissia. Et tu sais qu'elle risque de te cacher des choses pour te préserver, et tu en feras tout autant pour elle. Mais surtout, tu ferais n'importe quoi pour lui sauver la vie, quitte à donner la tienne en échange. Mais ça, elle n'en sait rien, de que ca, tu ne lui as jamais dit. Parce qu'elle refuserait, tu en es persuadée.

Habituellement, en sortant de ton set en boîte de nuit, tu rentres, tu fumes, tu te laves et tu vas dormir. Mais ce matin, tout était différent. T'as fumé plus que de raison en la surveillant avant de somnoler sur ton fauteuil, et finalement, c'est toi qui la guide dans ta salle de bain, découvrant toutes les marques de violence qui habillent son épiderme, au-delà des tatouages qui recouvrent sans doute d'autres stigmates passés. Tu découvres de nouvelles choses sur cette peau que tu pensais si bien connaître. Tu la vois observer la balafre sur ton corps, et tu ne dis rien. Le sujet sortira sans doute plus tard. Pour l'heure, tu viens simplement la rejoindre et lui donner la douceur dont elle a pu manquer depuis trop longtemps.

Caresses du bout des doigts sur sa peau humide, tu t'approprie cette couverture charnelle sans oppresser. Corps qui se colle au tien, tu laisses Ve faire, mener la danse, sentant ton coeur s'animer un peu trop fort. Garder le contrôle autant que possible, te laisser guider par sa main sur son ventre. Laisser tes lèvres se poser au creux de son épaule et laisser le gel douche mousser sur sa peau.




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