Warren lâcha la peau de la jeune femme. C’était adorable ce qu’il pouvait voir passer à travers ses yeux si lumineux. Il avait l’impression d’en voir toute une histoire et plus encore. Comme si un nouveau monde était à une caresse de son monde à lui. Alors il sourit, de cet air un peu joyeux et un peu triste. Comme s’il ne pouvait choisir l’émotion qui devait le submergé. Il n’avait pas touché de pinceaux à proprement parler depuis si longtemps. Il avait perdu l’intérêt de la chose quand on lui avait attesté qu’il fallait le cacher. Gordon avait une main mise sur une équipe comme la sienne. Une main qu’il avait mit à l’époque où ils étaient tous trop jeunes pour refuser ce qu’on leur offrait.

La gloire. L’argent. Le prestige. L’assurance que le reste de la famille irait bien.

Quelque part, il faut se dire que c’était -presque- flatteur que quelqu’un eu envie de le commander ainsi à cause de sa valeur. Au moins avait-il de la valeur dans son travail. Attaquant des lightnings. Il ne se voyait rien faire d’autres dans sa vie aussi souvent. L’entrainement, l’observation de l’adversaire, l’écoute des stratégies, la mise en place de stratégie. Il fit donc son sourire et la laissa aller se doucher alors qu’il décida de préparer le repas. Il n’aurait plus qu’à le mettre au four, ou au congèl si elle n’en voulait pas. Il avait fait des lasagnes de feuilles. C’était aussi une recette de sa mère. Il remarquait qu’il n’avait rien oublier, en réalité, des repas de sa mère et de la manière dont elle avait eu à changer les choses tout en les rendant meilleure. Les lasagnes n’avaient pas de pâtes mais des feuilles à la place, d’une salade particulière qui durcissait au contact de la chaleur et que personne n’aimait. Il y avait un peu de viande à l’intérieur, mais aussi des carottes et des céleris dans une sauce rouge qui faisait ressortir l’odeur de la viande, et dont l’impression d’en manger. Il fit ça sans se salir, toujours en costume pour partir en …

Est-ce qu’on pouvait considérer le fait qu’elle soit là en rendez-vous ou était-ce le fait d’aller faire du billard qui était un rendez-vous ? Il eut sa réponse quand elle arriva. Il n’avait plus aucune envie de jouer avec un billard. Il y avait une autre queue et des boules qui seront plus qu’heureux que la jeune femme s’occupe d’eux. (//calmos Carlos :o) Il penche la tête sur le côté. L’observe sans se cacher.

- je ne pense pas pouvoir être prêt un jour, mais allons-y. Je trouverais bien un moyen de gagner. Même une déesse ne pourrait me déconcentrer quand je décide de jouer.

Parce que bon… il avait dit que Sinned ne pourrait pas supporter d’être en couple avec Trixie, puisqu’elle le battrait forcément, se trompant lui aussi sur le joueur qui intéresse son ami … MAIS lui non plus n’aimait pas trop perdre. Il avait bien envie de lui prouver qu’il pourrait gagner. On se rappelle de la pastèque.

- Tu te souviens que tu me dois un baiser ? J’ai réussi à exploser la pastèque la dernière fois, fit-il avec un petit air de canaille alors qu’il fermait la porte avec une clé magnétique pour l’amener vers la salle de billard, cela me permettra d’attendre que l’inspiration te vienne pour mon petit surnom.

Il rit et appuya sur le bouton de l’ascenseur avant de se décaler pour la laisser passer. Il rentra dans la petite pièce et mit la clé magnétique pour demander l’étage des loisirs avec un code que seuls les résidents possèdent. Immeuble de bourg, souvenez-vous.

Maki le regarde la regarder. Et c'est très, très, appréciable. Mais elle prend la remarque de Warren non pas comme une affirmation de sa part, mais comme un défi qui lui serait lancé à elle. Si si. Elle compte bien le déconcentrer et réfléchit à la méthode en le suivant jusque dans l'ascenseur.

"Mmh ? Il me semblait pourtant que nos lèvres s'étaient déjà rencontrées, non ?"

Maki hausse un sourcil. Comme si elle posait sincèrement la question avant de sourire doucement. Cause baiser dans un ascenseur ? Soit il est foi. Soit il a une idée derrière la tête. Mmh. Dans les deux cas, la jeune femme compte bien prendre l'avantage.

"Mais si ça peut te faire patienter, je veux bien t'aider."

Elle jette un œil aux étages qui défilent. Calcule rapidement le temps avant d'arriver à destination. Elle peut … traîner un peu. Alors la jeune femme prend son temps. Glisse un doigt sous la cravate de Warren pour la tirer hors de sa veste de costume. Puis l'enroule d'un geste autour de sa main pour tirer le lightning à elle, tout proche de ses lèvres. Elle sourit en plongeant son regard dans celui de Warren. Et enfin elle l'embrasse, avec délicatesse et sensualité. Vient taquiner subtilement sa langue de la sienne et … s'écarte et le lache. Juste avant que les portes ne s'ouvrent. Et Maki sort de l'ascenseur avec un petit sourire satisfait, malgré la petite frustration qu'elle ressent … mais qui doit être bien moindre que celle de Warren, hehe.

"Si tu veux, tu peux considérer ça que comme un demi baiser…"

Qu'elle lui glisse en s'accrochant à son bras une fois qu'il sort à son tour de l'ascenseur. Pas cruelle au point de le laisser là dessus … plus longtemps que nécessaire pour le battre au billard. Bah oui. Bien sûr que ce petit manège avait pour unique but de déstabiliser le lightning. #pirate D'ailleurs, avant toute chose, elle va se commander un verre de rhum sec, parce que jouer sans boire … ce serait une bonne raison pour sa mère de la renier.

Elle n'attend pas de se faire inviter, Maki. Attrape son verre et file vers le billard d'un pas décidé. Prend une première queue pour la tendre à Warren puis une seconde pour elle-même.  Et elle ne lui laisse pas le choix. Bois un gorgée de rhum avant de poser le verre sur la bord de la table et se penche pour se placer pour casser. Juste avant Maki relève un regard malicieux, bien consciente de la vue qu'elle lui offre, avant de taper d'un coup secs dans les boules (pas les siennes ofc :3) et que l'une d'elles aille presque paresseusement rouler jusqu'à tomber dans un trou. Maki se redresse, très fière de son petit coup.

"J'ai les rayées. A vous très cher."

Warren haussa les épaules -presque- innocemment. Qu’est ce qu’une rencontre quand on veut que cela soit permanent ? Il lui lança un sourire en rentrant dans l’ascenseur. Le parfait endroit pour avoir son dû. La jeune femme n’allait pas le décevoir, il le sait. D’ailleurs, une fois dans l’habitacle, elle l’embrassa et OUF, c’est lui ou il fait chaud ? Il aurait peut-être du prendre les escaliers … Et avoir la place pour continuer le baiser. Il sorti de l’ascenseur en remettant sa cravate.

- Un demi-baiser …, cela me va. Cela signifie que j’aurais le droit à un second similaire, non ?

Il souria (/Sorry not sorry) et la suivit pour prendre un Mojito. Il sourit à l’homme du bar qui avait l’habitude de voir le grand Warren à son bar, bien qu’il n’était que rarement accompagné. D’ailleurs, une fois le couple ensemble, il prit son téléphone pour envoyer un photo à une personne qu’il connaissait dans la presse. Warren ne le remarqua pas plus que la première fois … trop occupé à regarder la jeune femme et ses courbes si tentantes. Il imaginait si simplement les pinceaux qu’il aimerait faire courir sur son corps. La jeune femme était déjà une oeuvre d’art, mais il voulait la peindre des pieds à la tête. Il la laisse faire le premier coup.

Clairement déconcentré par la vision qui se proposer sous ses yeux. Il avait même envie de cacher cette poitrine aux yeux des autres pour qu’elle n’appartienne qu’à lui. De la regarder et de la toucher. Il prit la place pour le second tire, l’observant alors qu’elle se pencher vers lui, fausse intéressé par son coup, mais il savait ce qu’elle voulait faire exactement. Si le but était que son regard tombe dans son décolleté, il pouvait la félicité elle avait parfaitement réussi. Il tira et la boule qu’il avait choisi se rapprocha du trou sans pour autant y aller. Le prochain coup.

Il s’approche de la jeune femme alors qu’elle se concentre pour tirer et juste avant qu’elle ne le fasse, il souffla un petit coup dans ses oreilles et se décala l’air de rien, comme s’il n’avait fait que respirer un peu trop proche d’elle et que tout n’avait pas été totalement calculé.

- Je pense que l’on va bien s’amuser, ricana-t-il en prenant une gorgée de son mojito en se plaçant de l’autre côté de la table.

Pas bête la bête, il évite les représailles comme ça… Ce qui était sûr c'était qu'il ne s'était pas autant amusé avec un billard depuis facilement trois ans.

Oui, oui, c'était en effet ce à quoi Maki faisait allusion. Avec son demi-baiser. Un deuxième identique. Ou un peu plus … Non la vrai question c'était combien de temps ce petit jeu allait tenir avant de déraper. La jeune femme savait désormais parfaitement l'intérêt que lui portait le lightning, au moins physiquement. Et elle ne pouvait pas nier qu'elle ne faisait pas que s'amuser de la situation. Et que le baiser dans l'ascenseur ou son souffle si proche de son oreille juste pour la taquiner … ça lui donnait des envies de glace au schtroumpf. Si vous voyez ce que je veux dire. (Non parce que s'il a un pénis, il est forcément bleu.) (Pitié faites qu'il ait un pénis et paaaas je sais pas quoi.) (Bon au pire y a pleins de trucs qu'on peut faire avec deux mains et une langue, et ça c'est sur qu'il les a.) (Mais quand même.)

Erm. Maki doit faire un effort certain pour se concentrer sur l'autre type de queue qu'elle tient entre les mains, et jouer à peu près correctement. Les boules peinent à rentrer dans les trous (erm) aussi bien d'un côté que de l'autre puisque les deux rivalisent d'imagination et de ruses salaces pour perturber l'adversaire. La jeune femme finit par s'asseoir sur le bord de la table pour se placer pour un coup. Croisant les jambes de sorte à ce que la fente de sa jupe s'ouvre très très haut, sans rien dévoiler. A vrai dire, elle s'ouvre tellement haut que l'on peut sérieusement se demander si elle a un petite culotte. (Ce que fait visiblement un type au bar qui les observe depuis un moment et qui vient de recracher la moitié de sa boisson en fixant la peau de Maki, attendant que la jupe s'ouvre encore un peu plus pour avoir la réponse à cette question soudain essentielle.)

Et la réponse est.

Viens voir toi même si t'es un homme.

Enfin un lightning.

Bref.

Renforcée par cette preuve de son pouvoir sur le moment (oui elle a vu le type cracher et la mater), Maki arrive enfin à placer sa dernière boule rayée et à égaliser avec le lightning. Plus que la noire, sauf que Warren retourne sa propre arme contre elle en lui murmurant à l'oreille un "Si nous avions été seuls, je me serais assuré que tu n'ais pas de petite culotte … ou que tu n'en ais plus si tu en as une." C'est pas qu'elle rate son coup, c'est carrément qu'elle rate la boule blanche et manque de faire un trou de la moquette. Elle rit en lui laissant le jeu libre. Enfin pas trop puisque que quand il ajuste son coup, elle se penche, pressant légèrement sa poitrine contre son dos pour lui souffler à l'oreille.

"J'en ai pas."

A lui de se rater. Maki fait remonter ses doigts le long de la colonne vertébrale de Warren et se rapproche à nouveau pour murmurer.

"J'ai menti."

Quand même. Hehe. Et puis elle se grouille d'aller jouer avant que n'arrive la contre attaque, même si elle se fit que la double décharge que le lightning vient de se prendre devrait le perturber une petite dizaines de secondes. Ou en tout cas assez pour tirer, et faire entrer cette foutue boule boire, avec deux bandes pour le plaisir. (En espérant qu'il n'y a que la boule qui bande là tout de suite sinon ce serait fâcheux.)

"J'ai gagné."

Maki se tourne avec un léger sourire satisfait en direction de Warren. Pas sur qu'elle parle vraiment de billard. Pas sur qu'elle est vraiment gagné non plus. Mais ce qu'il y a de certain, c'est qu'elle a beaucoup apprécié ce petit jeu.

Warren pouvait affirmer plusieurs choses, maintenant qu’il avait vu la jeune femme dans un cadre plus … propice aux développements des sous-entendu. Plus propice et en live, puisqu’il en avait déjà fait un paquet, et elle aussi, alors qu’ils étaient en visio. Bref. Il pouvait dire plusieurs choses, maintenant.

Premièrement, c’était un jaloux et un possessif. C’était bien la première fois, de toute sa vie, qu’il eut envie de se retourner pour cogner un gars qui regardait SA déesse. Il avait prévenu Warren. Tous les lightnings hétéro, ou bis, seraient perdus dans la courbe de ses formes. Cependant, le savoir et le voir, c’était deux choses différentes … et si son attention aurait été à moitié moins prise par la jeune femme, il serait certainement aller faire tomber l’autre bleu de son tabouret.

Deuxièmement, la jeune femme, dans ses habits si attirant, surtout pour être enlever, était une dangereuse ennemie qui n’avait de cesse de le mettre à Terre. Chaque fois que sa poitrine se soulever, pour respirer, pour rire ou pour le taquiner de cette manière si intéressante … et bien ça faisait une réaction chimique très forte en lui.

Troisièmement, il retirait ce qu’il avait dit plus tôt sur le sexe en place public… S’il avait un peu moins de retenu, il n’hésiterait pas à la toucher sans vergogne, et il pouvait comprendre maintenant Pourquoi certaines personnes commençaient les préliminaires à la vue de tous. Il avait vue, un jour qu’il était en boîte avec l’équipe pour montrer qu’ils étaient jeunes et fous, un couple commençait les préliminaires sur la chaise… Le plus choquant fut peut-être la personne qui, passant, les avait remarqué et avait commencé à filmer avec le flash. Au lieu de s’arrêter, les deux jeunes avaient augmenté la cadence de la main dans la culotte de la jeune femme (//true Story). C’était là qu’il avait compris qu’il ne pourrait jamais faire ça. La jeune femme ne lui donnait raison que parce qu’il avait trop de respect pour elle.

Quatrièmement… Ouais, il voulait toucher la jeune femme tout de suite. Il avait l’impression d’être en feu, et heureusement qu’une particularité des lighnings -l’équipe pas l’espèce- permettait d’avoir un corps holographique pendant les matchs. Monsieur aimait se trimballer tout nue, souvenez-vous, donc Monsieur n’avait … pour ainsi dire presque jamais de caleçon. A Volmir, c’était un miracle qu’il est pensé à en prendre un pour dormir… Normalement c’est en tenue d’Eve et tenue holographique pour cette partie quand on sonne à la porte. De toute façon, on avait plus l’habitude de le voir en tenue qu’habiller alors …

Cinquième, il pouvait affirmer qu’il était content de ne pas abaisser toutes ses cartes tout de suite. Il attrapa la main de la jeune femme, laissant un pourboire sur la table et a fit monter dans l’ascenseur qui attendait toujours. Une fois à l’intérieur, il appuya sur son étage, puis mis la clé magnétique et appuya sur un gros bouton rouge. Il fit un rire de prédateur et bloquant la jeune femme d’un coin de la minuscule pièce.

- On a environ cinq minutes pour vérifier si tu m’as encore menti.

Il y avait un décompte sur l’écran numérique de l’ascenseur, qui comptait les secondes avant que la police ne soit appeler. Warren la regarda avant de se baisser, s’accroupissant, il toucha les pieds de la jeune femme et remonta sa main le long de sa jambe avec une lenteur exacerbé. Il y avait les secondes et les minutes.

- Tu as des jambes magnifiques. Je pense que si je n’étais si déconcentré par tes cheveux, ta poitrine et ton sourire, je les aurais remarqué aussi.

Il s’approcha de la rotule, parce qu’il suivait la fente mais n’hésiter pas à pousser le tissu, et lui fit un baiser dessus avant de se relever doucement pour arriver à la jonction entre le buste et la jambe. Il y trouva un élastique qui ne pouvait qu’appartenir à une culotte et il sourit en mettant son nez contre celui de la jeune femme.

- Faisons un jeu, si je trouve la bonne couleur, alors tu l’enlèveras… en me laissant regarder bien sûr…

C’était clairement plus du niveau de la drague. C’était un niveau même plus loin que tout. Warren n’avait jamais fait ça…avec personne. Jamais. Toujours pas dans un lieu public, bien qu’il sache que personne ne pouvait les voir. Non. Il pouvait comprendre pourquoi mais ne le ferait jamais. Avoir la jeune femme rien que pour lui, ça ça le faisait bander (oups) même si elle ne pouvait rien remarquer avec sa tenue.

- Je vote pour la couleur *choisi la bonne couleur*

Et Warren sourit. Il restait encore la moitié du temps. Ce qu’on peut faire en si peu de temps est short … mais il n’a pas peur. Pour une fois, il n’a peur de rien et s’amuse simplement avec une femme qui s’amuse aussi de lui. C’était bon. C’était simple. C’était clairement excitant comme jamais.

Il faut dire que les jours et les jours passés à se chercher l’un l’autre, plus ou moins subtilement, ont sans doute contribué à ça mais … c’est la partie de billard et de drague la plus efficace et la plus rapide à laquelle Maki a participé. Elle a à peine de temps de narguer le lightning sur sa victoire qu’elle se retrouve coincée dans l'ascenseur par ce dernier. Un léger rire grave empreint de désir en réponse à celui plus carnassier que Warren. S’il veut la croquer ici-même, ce n’est pas elle qui dira non.

“Mais moi je ne mens jamais voyons…”

Qu’elle minaude innocemment, avant que ses yeux ne s’envolent un plafond quand Warren disparaît de son champ de vision pour se rendre plus au sud. Maki se mord les lèvres en essayant de ne pas soupirer trop fort au contact du lightning sur la peau de sa jambe. Non, mais elle peut pas être déjà aussi excitée que ça, quand même. Ok. Si. Elle déglutit difficilement et soupire presque de soulagement contre les lèvres de Warren, quand il rapproche son visage du sien. Ne pas l’embrasser. Ne surtout pas l’embrasser. Sinon. Elle n’est pas bien sûr d’être capable de retenir … la suite. Quoique le jeu qu’il lui propose n’aide pas beaucoup. Mais elle hoche la tête et attend qu’il devine la couleur de son dessous.

"Mmh. Bien joué."

Maki prononce ces mots sur le ton du regret. Mais il n'en est rien du tout. Il suffit de voir la façon dont s’étirent ses lèvres brièvement parcourues par le bout de sa langue. Puis elle repousse doucement Warren, juste pour qu’il puisse avoir une bonne vue. Même si elle ne fait pas grand chose. Passe juste une main dans la fente de sa jupe, très haut pour trouver l’élastique de sa petite culotte au-dessus des os de ses hanches. Découvrant assez largement sa jambe. Puis elle fait de même avec son autre main, repoussant complètement sa jupe, dévoilant ainsi ses deux jambes, et sa petite culotte. Ses doigts glissent sous le tissu du sous-vêtement, et Maki se baisse pour le retirer, remplaçant la vue sur ses jambes par celle sur sa poitrine et … prenant bien soin de baisser son visage au niveau de l’entrejambe (encore bien mystérieuse god) du lightning. La jeune femme relève les yeux vers Warren et lui adresse un clin d’oeil avant de se redresser, sa petite culotte noire pendant un bout de son index.

“Je te l’aurais bien proposée comme trophée, sauf que c’est moi qui ai gagné …”

Trop dommage, n’est-ce pas. Maki retient un petit rire malicieux. Se demandant bien quel peut-être l’avis du grand Warren sur les petites culottes souvenirs. Par contre, elle se doute de son avis sur les jeunes femmes aux fesses généreuses dépourvues de sous-vêtement. Alors elle lui attrape délicatement une main de sa main libre et la fait glisser sous le tissu de sa jupe, jusque sous le galbe de sa fesse. Si proche de son intimité nue.

“Mais je peux toujours t’offrir un lot de consolation.”