Steven faisait toujours attention à Becca. C’était au-dessus, tout le monde savait qu’il ferait tout pour elle. Toute l’équipe savait qu’elle passait en premier. Même Seth savait que Becca passerait avant lui. Pas qu’il ne laisserait mourir Seth si le moment se présenter. Déjà, Seth était immortel et il ne ressentait pas la douleur … et puis Steven n’avait pas ce besoin, quasi viscérale de le protéger. Ce qui n’était pas le cas de Becca. Il avait besoin de sauver la jeune femme de sa tristesse. Il avait besoin de repousser sa colère, sa haine, sa peur, sa tristesse, tout ça… Il ne pouvait influer que sur la peur, et ça l’attriste. Il voudrait prendre tout ce qui blesse son ami et les avaler. Cela même s’il devait en souffrir jusqu’à en cracher du sang. Il avait besoin de prendre cette peur. Il avait besoin de l’aider, d’être là pour elle… Merde… Il ne voulait pas qu’elle pleure alors qu’il était là pour la tenir dans ses bras.

Il connait cette femme. Il la connait par cœur. Il la connait. Et la caresse de son nez contre sa peau lui fait du bien. Il sait qu’elle essaie de lui transmettre des bonnes ondes. Des choses belles. Il le sait. Parce qu’il a l’habitude qu’elle n’arrive pas à parler… Et à la place, elle le touche avec cette douceur. Et il adore ça. Il adore aussi savoir être le seul à avoir le droit à cette partie de sa personnalité. Personne ne le connait mieux que lui. Personne ne la connaître jamais mieux que lui. Personne ne sait son cœur. Lui, il sait. Il la connait. Et il se répète, mais il adore ça. Il sourit doucement à ce geste et réponds à sa caresse par une autre tout aussi délicate. Il l’embrasse et la regarde.

- Arrête de pleurer, ma douce.

Il fallait qu’elle arrête de pleurer. Parce que ça lui brise le cœur. Parce qu’elle n’avait pas à pleurer. Becca était la femme la plus forte, la plus courageuse, la plus confiance du monde. Becca avait été mal, un temps, et elle avait combattu tout ça pour être la femme qu’elle voulait. Elle était une femme forte, et il aime cette femme. Alors, il embrasse ses joues, il embrassa ses joues et continua de faire des bisous partout sur son visage. Il avait envie de l’aimer. Mais elle ne le voudrait pas. Une fois que ce moment sera passé, elle allait le repousser. Elle le faisait toujours. Mais il était prêt à être blessé par elle. Il était prêt à se faire souffrir pour elle.

- Oui, souffla-t-il alors qu’il passa une main au-dessus de sa tête pour en caresser ses cheveux.

Il caresse ses cheveux d’une main, remonté sur elle. Il l’embrasse, joue avec sa langue de la sienne en l’amenant toujours plus dans le désir. Il caresse la jambe de la jeune femme. Il la déplace pour que la jeune femme la relève. Il l’embrasse, passe ses baisers dans son cou, sur sa clavicule, vers sa poitrine. Il la voulait nue, sous lui. Il la voulait nue… et il voulait l’honoré toute la nuit. Il voulait lui faire du bien. D’un mouvement, il se releva et enleva son haut, puis son bas, laissant son caleçon en place. Il était déjà bien excité, lui … parce qu’il était amoureux… et surtout que la jeune femme devant lui était la femme la plus sexy de l’univers. Personne ne pouvait lui arrivé à la cheville. Alors il se penche, et il l’embrasse pendant que son érection pouvait toucher la jeune femme. Il avait fait en sorte d’être entre ses jambes.

- Je vais te déshabiller Becca, et il lia la parole aux gestes en commençant à passer la main sous son t-shirt pour le relever avec une infinie lenteur.