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LE TEMPS D'UN RP

Qui aura la rose ? - Bachelor, version Suna (Charlissa)

Clionestra
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Univers fétiche : Fantastique
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CLIONESTRA RANG GAGNE
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Clionestra
Mer 1 Nov - 22:20

Tamaki
Sabaku

J'ai presque 57 ans et je vis à Sabaku dans ma pyramide qui empêche mon vieillissement. Dans la vie, je suis pharaonne et déesse et je le vis très bien. Je veux me marier avec le kazekage car ainsi je récupèrerais Suna comme ma Terre promise

Qui aura la rose ? - Bachelor, version Suna (Charlissa) - Page 5 355225623490f4adbc5f8145481734bfa88247ea
→ Vue comme une déesse
→ A la triple vue. Peut voir les intentions, les âmes, les esprits, les mensonges.
→ Vie dans une pyramide qui arrête son vieillissement
→ Pacifiste, elle veut récupérer Suna par le mariage
→ Considère Dehya comme sa seule amie
Fiche technique:
Il allait être transformé en Sabelette. Elle lui donnait une perche de la taille d’une pyramide et il pensait juste au fait que ça ne lui plaise pas au lieu de la prendre. Imbécile. Elle n’avait pas le droit de se mêler de la vie des hommes. Parce que si elle se mêle de la vie d’un homme, lui donne bonheur et prospérité avec son pouvoir, pourquoi ne pas le faire avec un autre, et un autre, et un autre ? Pourquoi lui et pas son voisin, qui ne demande lui aussi que le bonheur ? Elle peut manipuler les choses, elle peut essayer de les modifier mais elle n’a pas le droit de se mêler. Mais pour Dehya, elle le voulait. Elle voulait que Gaara comprenne tout de suite pourquoi elle risque de lui sauter dessus, de se faire suivre, renifler, lécher –oups, ça c’est déjà fait-. Lui, Temari et Kankuro. Dehya ne sait rien encore. Personne ne sait. Elle ne pouvait pas faire confiance à celui dont la culpabilité suinte à chaque fois qu’il pense à la femme-chat. Elle sourit cependant derrière sa tasse. Elle n’avait pas envie d’utiliser ses pouvoirs, ne pouvant manipuler la conversation comme ça l’arrange, mais ça l’amuse de le voir si … Il avait un balai dans le cul, dirait les hommes. L’idée la fit sourire et elle cacha cette expression derrière sa tasse à nouveau. Elle l’écoute et confirme de la tête. Une belle âme. Presque assez pour qu’elle ait envie de sortir de sa pyramide. Elle écoute la question qu’il lui retourne. Est-ce qu’elle sait être différente ?

- Je n’ai pas le droit, de donner le change. Il n’y a pas un moment de mon existence où je ne sers pas ma mission. Où je ne dois pas être une déesse. Vous me trouvez irritante, possible. Je le dois. Il n’y a que dans de rares cas où j’ai appris à être différente.

Elle pose un regard vers le passé. Encore la mère de Gaara, mais surtout ses demandes incessantes et le lien que la déesse avaient commencé à avoir avec la petite Dehya. Elle ne voulait pas l’approcher. Elle ne devait pas l’approcher. Si elle avait donné à l’enfant le droit de vivre dans son désert, lui donnant un protecteur pour père spirituelle, elle ne pouvait pas être son amie. Sauf qu’elle avait sous-estimé la petite enfant qui, non contente de savoir pouvoir parler à une déesse, n’avait jamais rien demandé. Tout ce que la petite avait obtenu, elle l’avait gagné par la sueur de son front… Et cela sans jamais parler à la moindre forme humaine à des kilomètres à la ronde.

- Je n’ai jamais eu de frères ou de sœurs pour me piquer des céréales. Pour tout avouer, je ne mange même pas normalement, parce qu’une déesse n’en a pas le besoin. Dans ma pyramide, je vis plus longtemps, le temps s’écoule et se dilue et je dois être la stabilité, l’image même de la personne qui ne changera jamais avant de laisser son essence appartenir à un autre. Je ne dois pas donner le change car je dois incarner celle qui pourra aidé, protéger et servir son peuple comme une déesse et non comme un chef.

Même quand elle était au petit coin. Chose qu’elle avait appris à faire en arrivant, parce qu’elle n’en avait pas le besoin, donc, comme pour la nourriture dans son coin de désert. Gaara la prenait pour une arrogante. Il pensait qu’elle était irritante … Mais il ne réalise pas qu’elle avait surtout eu une existence très solitaire. Remplis de personne pour la vénérer mais personne pour la connaître. Elle était une déesse. Elle ne serait être autrement que la déesse. Même la cougar, elle pouvait imiter ce qu’elle savait, mais ne se ressentirait jamais ainsi. Il n’y avait que Dehya où elle était devenue pour la première fois en un quart de siècle, une grande sœur, une amie, une âme sœur.

- Il n'y a que deux cas où j'ai été différente, plus comme j'aimerais l'être que ce que je dois être.

Une fois le jour où le père de Gaara avait voulu lui offrir Dehya en sacrifice. Elle était rentré dans une colère noire alors que la mère de l'enfant supplié des prières qu'elle entendait comme des glas....Et le reste était toutes les fois où elle était avec Dehya.


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Dim 3 Déc - 17:56

Gaara de Suna
J'ai 18 ans et je vis à Suna, au pays du vent. Dans la vie, je suis Kazekage et l'ancien hôte d'Ichibi et je m'en sors plutôt bien.

Qui aura la rose ? - Bachelor, version Suna (Charlissa) - Page 5 79f7


- 1m73
- ancien hôte d'ichibi
- cinquième kazekage de Suna
- secrètement passionné d'ikebana et adore les cactus
- doit se trouver une femme pour des raisons politiques


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Faceclaim : gaara (naruto)

Ah ! Semblerait qu’elle soit au courant qu’il la trouve irritante. Enfin s’il en croyait les rapport de son cher papa, c’est vrai qu’il y avait quelques suspicions concernant des pouvoirs télépathes, ou au moins psychique, de la déesse. Et bah elle ne va pas s’ennuyer dans sa tête, ahah. Enfin. Gaara s’en moque un petit peu. Il l’a dit juste avant, il essaye d’être honnête le plus possible, même si être blessant ne l’amuse pas. Il préfère éviter, certes. Mais si elle rentre dans sa tête, et bien tant pis pour elle, ma foi. Il a encore le droit d’avoir un avis mitigé sur quelqu’un. Même si c’est une “déesse”. Bats les couilles. Comme dirait Kankuro. Jamais de la vie Gaara dit “bats les couilles”. C’est non. Enfin peu importe. Le kazekage reste attentif à ce que Tamaki lui dit, se confiant un peu sur la … monotonie, il dirait, et les efforts d’effacement qu’elle doit faire pour maintenir son rôle de déesse. Il hoche doucement la tête pour signifier qu’il l’écoute, le regard perdu par la fenêtre. Il soupire doucement.

“ Sans offense … Je vous plains.”

Lui-même s’agace, de rares fois certes, mais ça lui arrive, de n’être pas tout à fait libre de dire et faire les choses exactement comme il les entend. C’est tout le principe de la politique, et il est ce qu’on appelle un “homme politique”. Même si cette appellation fait froncer le museau des trois enfants de Suna, c’est bien ce qu’ils sont. Lui en priorité, puis Temari, puis Kankuro. Ce dernier étant celui des trois le plus ennuyé de cette situation, même si … Et bien ça ne le freinait pas dans certains domaines. Monsieur le frère du kazekage qui s’envoie en l’air avec le tout Suna. (Oui, il est au courant !! Il tient même une liste au cas où il finisse par se faire kidnapper par une de ses gonzesses, sait-on jamais.) Bref ! Tout ça pour dire que oui, il la plaint, parce qu’elle est bien plus restreinte qu’eux ne le sont, alors qu’eux-même sont déjà gavés. Gaara tourne son regard vers Tamaki et lui adresse un tout petit petit petit sourire. Minuscule. Mais sans aucune trace d’ironie, ou de moquerie, ou quoique ce soit. Juste une pointe de compassion autour d’un simple constat qu’il fait :

“Ca n’a pas l’air d’être très agréable d’être une déesse.”

Il préfère clairement sa situation à celle de Temaki. Au moins … il l’a choisi, et il peut la quitter. Il ne sait pas comment on devient, ou on arrête d’être dieu ou déesse. Il suppose que c’est un état de fait de moment où elle a commencé à exister, et qui sera jusqu’à ce qu’elle cesse d'exister. Aucun choix là-dedans, il imagine. Même s’il n’en sait rien et que pour l’instant, erm, il s’en fout un peu. Déjà parce qu’il ne s’intéresse pas aux affaires des déités, mais aussi parce qu’elle dit quelque chose qui attire nettement plus son attention.

“Que deux fois ? Ça ne fait vraiment pas beaucoup … Vous voulez en parler ?”

Deux fois sur une vie de déesse, c’est encore moins que deux fois dans une vie d’être humain. Surtout pour être soi-même. C’est très très peu. Puisque c’est Tamaki qui aborde le sujet, Gaara en déduit qu’elle pourrait vouloir en parler, sinon elle se serait tout simplement tue. Peu importe que ce soit une ruse manipulatrice, ou un besoin de se confier à quelqu’un, Gaara lui offre l’occasion de s’exprimer si elle le souhaite. Même s’il la trouve assez agaçante, et même si cette entrevue est bien plus politique que celles qu’il a eu avec les princesses, il ne voit pas pourquoi il ne lui offrirait pas le minimum d’attention personnelle. Comme pour les autres, donc. Sauf Dehya. Erm. En même temps, elle s’était servie toute seule avec sa léchouille question besoin perso. On va dire ça comme ça, hein. Erm.
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Clionestra
Dim 10 Déc - 22:57

Tamaki
Sabaku

J'ai presque 57 ans et je vis à Sabaku dans ma pyramide qui empêche mon vieillissement. Dans la vie, je suis pharaonne et déesse et je le vis très bien. Je veux me marier avec le kazekage car ainsi je récupèrerais Suna comme ma Terre promise

Qui aura la rose ? - Bachelor, version Suna (Charlissa) - Page 5 355225623490f4adbc5f8145481734bfa88247ea
→ Vue comme une déesse
→ A la triple vue. Peut voir les intentions, les âmes, les esprits, les mensonges.
→ Vie dans une pyramide qui arrête son vieillissement
→ Pacifiste, elle veut récupérer Suna par le mariage
→ Considère Dehya comme sa seule amie
Fiche technique:
Elle hausse les épaules. Ouais, elle sait qu’on la plaint. Elle connait sa vie. Elle connait comment fonctionne sa vie. Dire qu’elle l’ignore serait un mensonge. D’ailleurs, ce savoir était aussi important. Pour être une bonne déesse, elle avait besoin de savoir qu’elle ne pourrait pas être une personne normale. Elle ne pouvait pas l’être. Alors, elle hausse les épaules. Ouais. Parfois quand elle regarde les étoiles et fait une rétrospective de sa vie, elle se plaint aussi. Elle répond à son sourire.

- Cela ne l’est pas. Je suis une déesse par naissance, je n’ai pas choisi ce poste.

Pas comme Gaara. Gaara avait choisi de prendre ce post. Même s’il n’aimait pas ça, il avait pris ce travail parce qu’il avait eu la possibilité de le prendre. Il l’avait pris parce qu’il avait voulu défendre Suna. Il avait fait ça parce qu’il se sentait apte. Elle, elle était née apte. Elle n’avait pas le choix, entre autre. Une déesse qui ne fait pas son travail, qui n’est pas une déesse, elle peut se faire tuer. Et une autre se voit naître. Une meilleure version. Elle se souvient de toutes les autres vies qui lui avaient été donné … Et certaines avaient été terminées dans le sang. Parce que la déesse avait choisi de faire la guerre contre son peuple pour sauver tous les autres. Et elle avait été demi de sa fonction, renvoyer dans les limbes pour qu’une autre, sa fille qui grandissait dans son ventre, voit le jour et prenne sa place. Elle. Tamaki était la fille de la déesse qui avait été tué pour ne pas avoir été assez déesse. Il lui fallait être mieux. Elle regarde Gaara, laisse son regard trainé sur le mot inscrit sur son visage. Si seulement il savait. Mais elle ne pouvait pas lui dire ainsi. Il ne la croirait pas, ou se sentirait méfiant. Elle laisse un soupire alors qu’elle pose sa tasse.

- Dehya, souffla-t-elle. C’est elle. C’était autour d’elle. La première fois, c’était de la colère. Le père de Dehya est venu avec elle dans ma pyramide. Il s’est prosterné devant moi et sais-tu ce que ce vile petit serpent putride m’a offert ? Sa propre fille. Sa femme était derrière lui, hurlant alors que trois ninjas l’empêcher de passer. J’ai dû être une déesse. Je n’ai pas eu le droit de le gifler, ou même de l’écraser comme je l’aurais voulu. Mon rôle n’est pas de punir. Alors j’ai simplement refusé ce « présent ». Et tous sont repartis.

Elle sent son visage revenir vers la marque sur le visage de Gaara. Elle bloque. Se souvient parfaitement du sentiment qu’elle avait ressentit en voyant le père proposer son enfant dans le but de la rendre puissante. Il voulait une arme et avait eu qu’un bébé. Que voulait-il ? Le kazekage voulait Gaara. Il voulait un enfant qui naisse monstre et tue pour se protéger. Il ne voulait pas des larmes que Dehya faisait en tendant ses bras boudinés vers sa mère. Elle ferme les yeux, se souvient de la rage qu’elle avait ressentie, de la haine, de la souffrance. De la mère de Gaara.

- Plus tard, cet homme a jeté son bébé dans mon désert. Il n’en voulait plus. J’ai entendu les prières de la mère, elle pleurait et me suppliait de sauver son bébé. Elle me disait qu’elle était prête à mourir, à se donner la mort, si sa mort pouvait me donner l’adoration qu’il me fallait. Je savais qu’elle était sincère. Mais je n’avais pas besoin de ses prières. Pour la première fois de ma vie, j’ai surtout senti la colère. Je détestais cet homme. Je le déteste toujours même si mort. Il avait jeté son enfant. J’ai envoyé un animal spirituel s’occuper de l’enfant, j’ai envoyé un message à la mère pour lui dire que je m’en occuper. Je n’en avais pas le droit. Je n’en avais pas le droit mais je l’ai fait. Parce que cet homme, je l’ai détesté. Cette femme, je l’ai trouvé si pure. Cette enfant, Dehya, elle était encore plus innocente que les autres. Mais je n’en avais pas le droit.

Elle se renfonce dans son canapé. Elle le regarde.

- Dehya. Son père venait de Suna. Les autres fois où j’étais devenu plus « humaine » c’était avec elle. Elle est un animal, certes, mais son lien à l’humanité lui vient des prières de sa mère. Et … Je me suis mêlé une seconde fois en la faisant revenir ici. Parce que j’espère que sans me mêlé plus, les personnes qui le doivent comprendront qui elle est et ce qu’elle est. Car je ne peux pas le faire plus. Mon devoir me l’interdit.

Mais ça la tue. Dehya. Elle aurait craqué bien avant … mais cacher dans la pyramide, Dehya et elle étaient devenu amies. Tamaki avait eu une magnifique femme qui était devenu de cette enfant. Une enfant qui avait besoin de retrouver sa famille. Ses frères et sa sœur. Elle rouvre les yeux et les pose à nouveau sur Gaara.

- Là encore, le futur n’est pas certains… Il peut y avoir bien plus d’une réaction à cet évènement. Je me prépare donc au pire en attendant le meilleur. Je ne peux faire que confiance aux cœurs.  


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Mar 19 Déc - 17:48

Gaara de Suna
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Il l’invita à parler, et la laisse parler. S’étonnant un peu, même tant que ça, de la quantité de paroles qui se déverse des lèvres de la déesse. Preuve en plus des mots qu’elle emploie que cette histoire l’a vraiment touchée au … coeur ? (Note pour lui-même, vérifier si les dieux et déesses ont un cœur.) Gaara reste un pas en dessous de la neutralité; Montrant juste assez d’intérêt et de sympathie pour cette histoire. Il comprend la colère et la peine qu’elle a pu ressentir. Il comprend l’injustice; Il comprend qu’il aurait fait payer cet homme, lui, d’une façon ou d’une autre, ce qu’elle-même ne pouvait pas faire de part son statut. Mh. Les dieux et déesses sont privés d’une sacrée marge de liberté, il trouve. Et donc d’une sacrée marge de puissance … Bref. Ce n’est pas la question pour l’heure. Il écoute. Il fait des liens au fond de son crâne. Superposant trop facilement l’image de son père à celle de l’homme de l’histoire. Sans doute parce qu’il était également un très mauvais père. certainement parce qu’il en aurait tout à fait été capable. Peut-être parce que … parce que ouais, ça lui va vraiment bien. Mais il chasse l’idée. De toute façon Tamaki le répète, elle ne peut pas faire plus. Alors inutile de lui demander. Il fera des recherches plus tard. Elle ne peut pas … C’est franchement ironique de pas “pouvoir” quand on est une divinité.

“Je suppose que vous le pouvez … mais que le prix de votre liberté est nettement plus élevé que pour nous.”

Elle pourrait. Elle pourrait vraiment, faire ce qu’elle veut. Mais, même si toutes les données lui échappent plutôt deux fois qu’une, Gaara en sait assez pour bien comprendre que si Tamaki fait ce qu’elle veut en débit de ce que lui incombe son devoir, les conséquences seront on ne peut plus … Et bien très certainement encore plus compliquée que celles qui le suivent lui depuis qu’il a décidé de devenir le nouveau Kazekage de Suna : les tentatives d’assassinat. Ce qui est plutôt pas mal relou comme conséquences, que l’on soit clair sur le sujet, surtout si le mot “tentative” vient à disparaître. Mais pour Tamaki, oui, les conséquences doivent être du niveau supérieur à celui-là. Donc ouais. Elle peut. Mais à quel prix ?

Gaara incline la tête et soupire. Que ce soit de son père ou d’un “ami” de la même trempe, dont la déesse vient de lui parler, il a déjà pris la décision d’aller éclaircir l’histoire de Dehya. C’est fatigant parfois. De faire des choix avant de faire le choix, consciemment, et réflexion. Un homme de cœur, qu’elle dit. Ça doit être ça, oui. Mais il y a des fois où il aimerait bien que son coeur réfléchisse cinq minutes parfois; Juste pour lui donner le temps de se faire à l’idée avec son cerveau. Ça serait un peu plus … calme dans sa tête.

“Je ferai des recherches. Pour Dehya. Je peux bien faire ça pour elle. Et comme il y avait des ninjas dans l’histoire, il devrait y avoir des traces quelque part. Des témoins. Quelque chose. Bref. Ca ne devrait pas être outrageusement compliqué.”

Même si ça serait plus simple qu’elle lui donne directement les noms … Gaara pose un regard presque sévère sur Tamaki. PAs à s’en encontre à elle, mais marquant sa réflexion. Sans doute qu’elle ne peut pas lui donner par devoir. Sans doute qu'elle ne peut pas lui donner pour d’autres raisons, nettement plus … personnelles. Bref. Peu importe. Ça ne sert à rien de théoriser maintenant. Il saura quand il saura. Il soupire à nouveau, et quelque chose le frappe tout à coup.

“Si Dehya trouve sa famille à Suna et qu’elle souhaite y rester, vous allez perdre votre amie. La seule qui vous permet d’être un peu plus vous, de temps en temps …”

Il chuchote. Elle sait bien sûr, les causes et conséquences de son geste. Gaara lui, même s’il trouve ça juste, et logique, il trouve aussi ça infiniment triste pour elle. Mais peut-on être triste pour une divinité, il l’ignore. Alors il ne fait que cette conclusion pour ne pas faire dans la compassion déplacée. Alors (dans un élan de fatigue et de craquage mental certainement, erm), il choisit l’humour.

“Raison de plus pour vous de m’épouser alors.”

Ouais, ouais, il craque le petit Gaara. Il se retient même de pouffer de rire dans un petit grognement. Faut tout arrêteerrrr !! AU LIT. Zouh ! Il se pince l’arrête du nez pour essayer de se reconcentrer, mais ça commence à lui taper derrière la tête. Alors il invite Tamaki à mettre un terme à leur entretien, lui assurant qu’il prendra le temps nécessaire pour faire son choix. Et qu’elle est bien sûr invitée à rester jusqu’à ce que ce soit fait. (Madame gagne la rose de l'immunité, ahahah, erm. …) Gaara raccompagne bien entendu la déesse jusqu’à la porte.

“Merci pour votre honnêteté et … bonne chance.”

“Bonne chance”. Il ne lui souhaite pas tout à fait de la chance mais … Ils ont tous les deux conscience de l’enjeu d’un mariage entre eux deux. Et ils ont tous les deux conscience de la place qu’elle occupe dans …. son top des princesses. (Beurk ça le fait grimacer si fort derrière son masque de porcelaine.) Mais clairement, mis à part les princesses dont il a déjà oublié le prénom, Dehya la lécheuse de joue, et … peut-être bien la pirate. Et … la psychopathe bleue … Y a du monde devant elle, ahah. Gaara lui adresse un dernier sourire de compassion, avant d’aller s’étaler sur le canapé qui a vu défiler un sacré paquet de cul de princesses en une journée. Et s’endormir comme une crotte, sans même entendre Baki qui vient voir comment ça s’est passé avec la déesse. Visiblement … ça a été mouvementé.

C’est Kankuro qui vient le réveiller, en faisant de gros efforts visibles pour ne pas se foutre de lui, avant de geindre parce que Gaara le pince pour se venger. Heureusement que le marionnettiste a ramené des pizzas et ils débriefent rapidement tous les deux, le brun passant définitivement une excelleeeennnte soirée à imaginer son petit frère dans toutes les situations improbables de la journée. Et à vrai dire, l’entendre rire à gorge déployée permet à Gaara de prendre un peu de distance et de dédramatiser tout ce qu’il vient de se passer. Bref. C’est un peu plus serein, mais toujours décalqué, que le kazekage se sépare de son frangin, et prend le chemin de sa chambre pour aller dormir pour de bon, jusqu’au lendemain. Tard. Il mettra un mot “ne pas déranger” sur sa porte de chambre. Si,si. Doooooooormir. Ça n'a jamais été un but aussi clair et évident dans son existence. Sauf qu’il semblerait que quelqu’un ait décidé de lui mettre des bâtons dans les roues pour ça aussi.

“Princesse ……………… Eula” non c’est pas “pincesse psychopathe bleue”, mais il lui a fallu quelques secondes pour retrouver le prénom du coup … “Je peux vous aider ?”

Il ne sait pas bien en quoi il pourrait l’aider à faire quelque chose dans cet état. MAis si elle, elle veut bien l’aider à aller se coucher, il prend. (Attention aux souhaits que tu fais petit Gaara, attention !!)

Clionestra
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Ven 29 Déc - 19:50

Tamaki
Sabaku

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- Si je ne me plie pas aux règles, je peux … disparaître. J’essaie de me défendre de cela, mais il est difficile d’être… au dessus. Et je vous remercie, pour Dehya.

Ouais… elle savait. Et la petite moue qu’elle fit, de souffrance anticipé, faisait clairement comprendre à Gaara qu’elle savait. Elle savait qu’elle allait souffrir par le manque de son amie. Elle savait qu’elle se retrouverait seule. Encore. Qu’elle avait maintenant goûté à ce moment de félicité que c’était d’être avec une amie. De rire aux éclats pour une chose aussi futile et dérisoire qu’un nuage qui forme un cœur dans le ciel, et se fait traverser par un nuage pour se briser. Elle sait.

- Dehya est plus importante que mon humanité.

Dehya était son humanité. Mais Dehya, même si elle n’en avait pas réellement conscience, aimer sa famille. Pas son père. Mais sa mère. L’amour qu’elle portait à sa mère avait été marqué dans le ventre de cette dernière. Les prières pour sa survie l’avaient atteinte. Les murmures sur Temari et puis Kankuro. Tout ça, elle l’avait vécu mais de loin. Elle l’avait ressenti et elle savait être lié à quelque chose ici. Elle n’était pas là pour rien. Tamaki était prête à la perdre, pour la sauver, elle. En réalité, Tamaki était même prête à disparaître si elle remarque que le kazekage ne fait pas l’effort qu’il promet. Ouais. Parce que justement, elle était la seule personne qui avait donné un peu de bonheur dans son monde terne… alors… Alors, Tamaki accepterait de mourir, pour Dehya. Elle sourit à peine à la blague, comprenant sans peine ce qu’il se passe. Elle fait un léger sourire.

- Pourquoi croyez-vous que je sois ici ? répondit-elle au bord du badinage avant de secouer la tête.

Si elle finit marier avec le kazekage, elle serait déjà moins une déesse… mais toujours une divinité, et présente. Alors que si elle se mêle de la vie de Dehya « sans raison », elle cesserait d’exister. Elle savait déjà flirter, elle-même, avec les bords. Elle le laisse et fait un doux sourire alors que ses yeux virent l’avenir. Ou plutôt, une décision prise par une personne ailleurs, à Suna, et qui pourrait bien tout chambouler. C’était étrange. Cette bleue n’était peut-être pas la future femme de Gaara, personne ne le sait, mais elle pouvait voir qu’elle allait être importante. Très étrange. Elle le laisse là.



Eula
Yu

J'ai 18 ans et je vis à Yu, le village de la rivière. Dans la vie, je suis princesse mais tout ça je m'en tape copieusement (d'où le fait que personne ne me demande rien d'ailleurs). Je ne compte pas me marier au kazekage ... mais j'ai pris la place de ma soeur qui avait peur en plus d'être mineure

Qui aura la rose ? - Bachelor, version Suna (Charlissa) - Page 5 D88

→ Elle n'a aucune envie d'être princesse
→ N'aime pas du tout avoir des responsabilités
→ Adore s'amuser et boire
→ Peut utiliser la vision des oiseaux
→ Adore danser
→ Perverse
→ Ses deux parents sont en vie et règne sur Yu.
→ Elle a une petite soeur Iona, de 15 ans.

Fiche Technique:
... Elle tape du pied. Elle tape du pied fort. Depuis qu’elle avait laissé le kazekage, elle ne pensait qu’à son petit sourire. Depuis qu’elle l’avait laissé, elle ne pensait qu’au fait qu’elle avait envie de décortiquer cet homme et surtout SURTOUT elle voulait le tester. Elle regarde le corps de la jeune femme à ses côtés. Il ne lui avait fallu que peu de temps pour trouver une soubrette bien sexy à se mettre sous la dent… Cependant, pendant qu’elle se faisait un bien fou avec les doigts de l’inconnue, dont elle ignore totalement le prénom, elle n’avait fait penser qu’à Gaara. Elle voulait que ses doigts fouillent son intimité et qu’elle observe son visage stoïque… Oh… Ouais. Elle aimerait bien voir comment un visage si terne pourrait se tordre dans la jouissance. Mhhh. Merde. Elle se lève totalement nue. Elle avait bien apprécié de se faire ainsi servir par la soubrette, mais ça n’avait rien enlevé à ses pensées. Pourquoi un homme comme Gaara, qui pouvait avoir toutes les femmes à ses pieds et se faire un bien fou avec elle, était encore vierge ? Pourquoi un mec sexy comme lui n’avait pas déjà coincé une femme qui lui plait entre un mur pour s’enfoncer en elle. Peut-être qu’il était gay ? Eula se fige alors qu’elle pose son regard sur son corps nue. Ouais… S’il était gay, elle n’aurait aucune chance. Elle touche sa poitrine pour resserrer ses seins et elle écarte à peine les jambes pour voir la mouille qui reste entre ses jambes. Ouais… Elle ne l’intéresserait pas sans une verge et elle n’avait jamais été fan de l’idée de se faire une bite pour se faire du bien. Elle s’habille. Se rhabille. Se rembraille. Elle remet ses habits et elle tourne la tête vers la porte. Et si elle allait lui demander tout de suite ? Elle devrait se laver d’abord. Ouais. Bonne idée. Elle se lave, se rhabille à nouveau et se regarde à nouveau dans le miroir. Elle imagine Gaara venir derrière elle et la toucher et ça l’excite tout de suite…. Il était une trop bonne question. Elle n’avait aucune envie de se marier avec lui mais … Elle voulait qu’il la prenne contre un mur sans pouvoir s’en empêcher. Elle se met à rire. Héhé. Elle allait l’avoir. Elle n’avait pas pu caresser sa partenaire de rendez-vous, qui avait refuser de la laisser approcher ses mains baladeuses, et le frère du Kazekage ne semblait pas réellement désireux de s’amuser avec ses atouts. OK. Elle n’était pas stupide et accepter les refus, mais quand elle les comprenait. Elle sort et attend le kazekage dans son couloir. Quand elle le voit arriver, seul, elle se dit que la chance lui sourit… Et quand il lui demande s’il peut l’aider, elle sourit tout simplement. Elle se décroche du mur alors que son regard descend vers la bouche de Gaara et le reste de son corps sans la moindre putain de honte.

- Tu le peux, sussura-t-elle en s’approchant pour coller sa poitrine à son torse et remonter ses yeux vers lui, je veux savoir…, je veux tout savoir …

Et elle fit glisser sa main le long de la jambe de Gaara, vers son buste avant de remonter sur ses joues. Elle regarde ses lèvres, son signe de l’amour qui trône sur son front. Elle était totalement soumise à son besoin de l’avoir en premier.

- Je n’ai aucune envie de me marier avec toi. Mais j’ai diablement envie de voler quelque chose à ton village…

Elle se colle un peu plus à lui, elle le regarde avant de passer sa langue sur ses lèvres. Elle le regardait clairement comme si elle allait lui sauter dessus.

- Je veux savoir pourquoi personne ne t’a jamais fait l’amour. Pourquoi personne ne t’a jamais fait du bien ? Pourquoi personne ne t’a jamais embrassé ? Et surtout, surtout, je veux voler cette première fois qui devrait appartenir à une autre.

Et elle rit, elle rit alors qu’elle caresse ses lèvres doucement de son pouce. Elle écarte même ses lèvres pour en voir ses dents. Elle se colle encore plus à lui. Ses seins compressaient contre son buste, elle n’avait aucune envie de vérifier si elle l’excite, pour son égo, avant qu’elle ne sourie. Elle se recule d’un coup.  

- Alors, dit moi, Gaara. Qu’est-ce que je devrais faire pour te voler ta virginité ?

D’un coup, elle tire sur son t-shirt et elle s’évente avec une main, elle passe sa langue à nouveau contre ses lèvres et elle rit en lâchant le tout. Elle ne perdait pas réellement courage, non, elle sentait simplement que ce n’était pas le genre de choses qui pourrait plaire à Gaara. Ou qu’elle croit. En tout cas, elle n’était pas comme sa petite sœur … le Kazekage ne lui faisait pas du tout peur, il la faisait plutôt mouillé. Et elle part du principe que si un homme arrive à lui faire avoir ce genre de réaction, c’est qu’il ne faut pas avoir peur. Même si elle aime avoir mal parfois, elle sait qu’elle n’était pas attirer par des pervers narcissiques ou des salauds. Alors, ça la fait rire, l’amuse et l’excite un peu plus parce qu’elle a plein d’idée… héhé.



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Sam 30 Déc - 12:11

Gaara de Suna
J'ai 18 ans et je vis à Suna, au pays du vent. Dans la vie, je suis Kazekage et l'ancien hôte d'Ichibi et je m'en sors plutôt bien.

Qui aura la rose ? - Bachelor, version Suna (Charlissa) - Page 5 79f7


- 1m73
- ancien hôte d'ichibi
- cinquième kazekage de Suna
- secrètement passionné d'ikebana et adore les cactus
- doit se trouver une femme pour des raisons politiques


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Zdfghjklm hein ? C’est ce que fait le cerveau du kazekage. Seule réaction dont il est capable dans cet état de fatigue, et face à un genre d’attaque à laquelle il n’avait clairement jamais appris à réagir. Ni la défense, ni l’esquive, ni la contre-attaque. Que pouic. Il sent juste le sable sur sa peau se contracter à peine, parce que s’il y a peut-être à se défendre, ce n’est pas tout à fait une attaque. Alors Gaara ne dit rien, et ne bouge absolument pas. Pas même un battement de paupière, et si sa respiration ne faisait gonfler et dégonfler sa cage thoracique, on aurait pu croire à une statue de porcelaine. Il laisse la princesse de Yu faire, parce qu’il ne sait absolument pas quoi faire d’autre. Il la regarde juste, médusé, et … curieux. Curieux de cette chaleur qu’elle lui transmet en se collant ainsi à lui, et en faisant glisser ses doigts sur sa personne. C’est … assez inédit. Alors il reste silencieux et immobile, l’écoutant, jusqu’à ce que le regard de Eula le fasse réagir, à peine. Pas ses mots, pas ses gestes, mais son regard de prédatrice. Alors Gaara esquisse un peine un geste de recul, fronce les sourcils et commence à voix basse :

“Princesse Eul…”

Mais elle ne le laisse pas poursuivre, posant des questions qui le prennent à nouveau de court. Oh il ne se demande pas comment elle peut savoir qu’il est puceau. le monde entier peut aisément deviner qu’il l’est. Passer de monstre à chef de guerre, ça laisse peu de place pour les badinages. Mais ce sont encore des questions auxquelles il n’a pas appris à répondre. Et il n’y a qu’une réponse qui lui vient à l’esprit.

“Parce que personne ne me touche.”

Il murmure, alors que, maintenant, une jeune femme est en train de le toucher. Il sent très exactement le tracé de son pouce sur sa peau puis sur sa lèvre, malgré la fine couche de sable protecteur constamment sur son épiderme. Il sent aussi très bien Eula se serrer encore contre lui. C'est chaud. Vraiment chaud et étrange. Personne ne le touche non, certainement pas comme ça. La vérité étant qu'il pourrait presque compter les contacts physiques avec des personnes (autres que Kankuro et Temari) sur ses doigts. Il y a eu Hinata. Il n'y a pas si longtemps. Qui avait posé sa main sur la sienne. Ça avait été chaud aussi. Étrange aussi. Pas le même étrange. Mais. Rien de ce que la princesse est en train de parler. Parce qu'elle parle de sexe. Ou au moins, de sensualité. La question suivante d'Eula lui fait froncer les sourcils, non pas d'agacement, mais de réflexion.

“Je ne sais pas. Je ne vois ni bonne, ni mauvaise raison de … donner ma virginité.”

Est-ce que c'était vraiment quelque chose à donner ? Est-ce que c'était vraiment important ? La virginité, le sexe, la sensualité, tout ça, ce sont des choses qui le dépassent. Gaara n'a jamais eu de désir. Ni de simple envie. Ni de simples idées. Parce qu'il n'a pas le temps. Et puis. Parce que c'est un monstre. Soit le monstre de l'hôte de Shikaku. Soit le monstre sacré qu'est le kazekage. Et jusqu'à maintenant, il n'aurait jamais cru qu'une femme oserait aller se frotter à lui, quasi littéralement. Il n'était ni envisagé, ni désiré, par qui que ce soit. Et ce depuis sa naissance et de n'importe quelle façon que ce soit. Alors Eula le perturbe. Gaara est perturbé, oui, à cause de la fatigue, de la chaleur du corps de me jeune femme contre le sien et de la froideur maintenant qu’elle s’st reculée, à cause du chamboulement de ce qui était un état de fait pour lui. Il pourrait être désiré ?

Le kazekage grogne vague de fatigue et presque de douleur à avoir à réfléchir à tout ça maintenant. Il baisse la tête et pince l'arête de sol nez en fermant les yeux une seconde. Il a l'impression de réfléchir vite dans du vide. Et donc de pédaler dans le sable. Ouais. C'est une bonne image. Il soupire encore et Gaara relève les yeux vers Eula pour lui répondre simplement.

“Rien ne s'est passé parce que personne ne m'avait touché. Et que je n'ai encore jamais touché personne. Et que je n'y ai jamais vraiment pensé. Est-ce si important ?”

Est-ce si important ? “Tout ça” ? Kankuro dirait que “OUI, PUTAIN !”, ça il n'y a aucun doute. Pour les autres, il ne sait pas. Mais Gaara n'est pas stupide et il sait que le monde est régit par quelques puissances implacables. Dont le sexe, qui, jusque là, l'avait épargné. Enfin il y avait pensé un tout petit peu “avant”. ‘“Avant” étant depuis que cette histoire de mariage avait été mise sur les rails. Parce que c'est censé aller avec, non ? Toucher, caresser et embrasser une femme. SA femme. Lui faire l'amour. “Tout ça”. Le jeune homme y repense, maintenant, et en miroir à ce qu'a fait Eula avant lui, il pose ses doigts sur la joue de la princesse pour les y faire glisser un peu. C'est doux. Et chaud. Et son pouce refait aussi PRESQUE le même trajet. Se contentant de passer tout juste sous la lèvre inférieure de la jeune femme, et non pas dessus. Gaara est très, très attentif à son geste à lui, puis il la lâche et remonte ses yeux vers ses iris jaunes.

“Je ne peux pas répondre à ta dernière question … mais pourquoi ça a l'air si important pour toi de me la prendre ?”

Plus de vouvoiement, non. Elle le tutoie et a écrasé ses seins contre lui, alors il peut bien passer les formalités, non ?
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Sam 30 Déc - 22:17

Eula
Yu

J'ai 18 ans et je vis à Yu, le village de la rivière. Dans la vie, je suis princesse mais tout ça je m'en tape copieusement (d'où le fait que personne ne me demande rien d'ailleurs). Je ne compte pas me marier au kazekage ... mais j'ai pris la place de ma soeur qui avait peur en plus d'être mineure

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→ Elle n'a aucune envie d'être princesse
→ N'aime pas du tout avoir des responsabilités
→ Adore s'amuser et boire
→ Peut utiliser la vision des oiseaux
→ Adore danser
→ Perverse
→ Ses deux parents sont en vie et règne sur Yu.
→ Elle a une petite soeur Iona, de 15 ans.

Fiche Technique:
« Parce que personne ne me touche. »… Non… mais… Comment personne ne pouvait avoir envie de le toucher ? Comment personne ne pouvait avoir passé ses mains sous son haut pour le dépiauter comme une sucrerie ? Oh… Elle avait envie de le faire tout de suite, et l’idée qu’il puisse avoir un pétard dans son caleçon pourrait la faire rire, si l’idée de voir ce qu’il y avait dans son caleçon ne lui donnait pas aussi chaud. Elle était très sérieuse Eula, elle ne comprenait pas. Elle ne comprenait pas non plus comment sa camarade de rendez-vous pouvez être encore vierge alors qu’elle exulte le sexy à dix kilomètres à la longue… mais bon, c’était autre chose. Elle chauffe, elle se refroidit comme elle peut, mais avec elle … Avec ce jeune diamant brut pas encore taillé, elle passe à nouveau sa langue le long de ses lèvres avec délices. Mhhhhh…

- La bonne raison, l’envie, le désir, la curiosité, l’amour, la sensualité, le besoin bestial, il y a des tonnes de raisons de faire l’amour et de donner sa virginité. La mauvaise raison ? La peur, le devoir, le déni, l’obligation, la constriction. Là, si je te demande ta première fois, mon joli kazekage, qu’est-ce qui te ferait dire oui, ou non ?

Elle réfléchit à toutes les questions qu’ils se posent. Il réfléchit à tout ça, elle peut le voir. Et ça l’amuse réellement tout ça. Alors… Elle réfléchit à ce qu’il dit pendant qu’il réfléchit. Sujet : sexe. Mais degré de sérieux : 100 %.

- Oui. C’est important, qu’elle susurre en le regardant avec douceur.

Elle se laisse toucher par lui. Elle se laisse faire et frissonne. Oh. Oui. Elle frisonne et se sent tellement bien. Elle aime la douceur qui émane de lui. Elle aime ça. Trop ça. Elle se sent vibrer sous cette caresse et elle le regarde à nouveau. Elle allait le bouffer. Elle allait le bouffer tout cru. Il se recule et elle gémit de douleur.

- Ne me demande pas les choses illogiques. Peut-être parce que ce manque de contact, je peux le lire en toi, et que ça me tue. Peut-être parce que je ne comprends pas. Ni la peur de certaines princesses, ni leur envie de s’éloigner de toi. Peut-être parce qu’il y a quelque chose dans tes yeux qui me perturbent. Je n’en sais rien.

Et elle s’approche à nouveau de lui, attrape sa main et sans la moindre pudeur, elle place sa main sur son sein avant de s’approcher.

- Gaara, puis-je te voler ton premier baiser, pour le plaisir de mon esprit que ton premier baiser ne soit pas un stupide mariage arrangé entre deux pays ?

Elle ne l’aime pas, ce n’était pas encore ça… mais ouais… L’idée qu’elle ne puisse se faire du bien avec des partenaires et qu’il ne connaisse pas le bonheur de se sentir désirer, ça la perturbe grave la gamine. Très très beaucoup.


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Sam 30 Déc - 23:10

Gaara de Suna
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Pourquoi ?? Hein ? Pourquoi partir dans un débat presque philosophique sur le sexe. Surtout à une heure pareille, après une journée pareille. Ou les deux parties de se débat son intéressantes. Le kazekage coincé dans sa tête et son corps que personne n'ose toucher et qui, à vrai dire, n'ose toucher personne. Et la princesse aux multiples (et récentes) expériences, pleines d'idées lubriques, qui le voudrait bien pour elle. La discussion est intéressante, l'esprit est faible, alors Gaara reste, et écoute les questions de Eula, en réponse aux siennes.

“Je te dirais “non”, parce que malgré les raisons que tu me donnes, il n'y en a aucune qui me parle vraiment. À part la curiosité. Mais la curiosité ne suffit pas.”


La curiosité ne suffit pas à repousser … l'appréhension de la nouveauté. La peur de mal faire ? Il ne sait pas trop ce qui le retient. Pourtant il est curieux Gaara. En tout cas assez pour effleurer la peau de la jeune femme. A moins que ce ne soit son cerveau en semi-compote qui fasse tomber ses inhibitions habituelles. Tu parles d'une désinhibition de ouf. Il a touché une joue. (Kankuro sous les talons de Kimmy se tape une barre de rire. Avant de se prendre une fessée On ne rit pas aux pieds d'une domina enfin.) C'est sans doute cette curiosité qui fait que Gaara ne retire pas aussi sec sa main de la poitrine d'Eula, après que celle-ci l'ait placée dessus.

Il se fige juste. Puis relève son attention vers la jeune femme qui lui pose une question encore plus étrange que celles d'avant. Il cligne des yeux, réfléchit, puis répond.

“Tu pourrais … mais l’envie, le désir, la curiosité, l’amour, la sensualité, le besoin bestial ? Ça t'apporterait quoi, à toi ? Parce que cette raison n'a pas grand chose à voir avec toi …”

Il ne comprend pas bien en quoi le contexte et la partenaire de son premier baiser pourraient être importants pour elle. Parce qu'ils ont l'air de l'être. Mais. Non. Ça ne fait pas sens pour Gaara. Pas plus que sa main toujours posée sur le sein de la jeune femme. Il la regarde, regarde les lèvres d'Eula, baisse à nouveau ses iris bleus sur sa poitrine. Et il se demande quelle serait la sensation s'il refermait un peu ses doigts. A quelle point un sein de femme peut être mou, ou ferme, ou … autre chose ? Mais il ne bouge pas. Ne pelote pas Eula, mais ne la lâche pas non plus. Il relève les yeux et observe ses lèvres. Et son questionnement refait le même chemin. Quelle sensation serait-ce de l'embrasser ? La caresse de ses lèvres, leur goût, leur chaleur, leur humidité. Il se questionne sur tout cela. Et finalement relève les yeux vers la jeune femme.

“Tu pourrais l'avoir, sans que ça ait d'autre importance pour moi que satisfaire une curiosité passagère. Alors si pour toi … si c'est important pour toi. Pour une bonne raison, pour toi, je te le donne.”


Passagère. C'est le mot. Quand l'instant sera passé, l'idée désertera son cerveau. Il en est certain. Gaara peut très bien l'embrasser maintenant, et l'oublier demain. Il en est persuadé, en tout cas. Mais elle ? Si c'est vraiment important les baisers et le sexe pour elle, qu'est-ce qu'elle trouverait vraiment de ce baiser ... "sans importance".
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Lun 1 Jan - 21:46

Eula
Yu

J'ai 18 ans et je vis à Yu, le village de la rivière. Dans la vie, je suis princesse mais tout ça je m'en tape copieusement (d'où le fait que personne ne me demande rien d'ailleurs). Je ne compte pas me marier au kazekage ... mais j'ai pris la place de ma soeur qui avait peur en plus d'être mineure

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Fiche Technique:
La curiosité ne suffit pas ? Les yeux du kazekage étaient emplis d’une grande solitude… de tristesse. Elle ne connaissait pas ça pendant qu’elle se faisait du bien. Elle n’avait jamais connu la moindre tristesse pendant ses ébats. Le sexe lui avait appris à se sentir mieux. Mieux dans son corps et dans sa tête. Elle était loin d’être le genre de personne qui se faisait prendre pour combler un vide. Non. Elle avait mis quelque chose de sain dans les actions sexuelles qu’elle se faisait. Si elle aimait parfois être soumise, même très souvent, elle le faisait pour son propre bien. C’était sain. Et elle avait trouvé dans l’acte du sexe quelque chose de rassurant. Elle connaissait son corps, elle pouvait le gérer, elle savait ce qu’elle aimait… Et elle n’était jamais seule. Elle pourrait toujours trouver une personne qui avait besoin de chaleur, d’une chaleur d’une nuit. Elle connaissait l’envie de se mettre dans les bras d’une autre personne, de se lover et de se laisser aller en elle. Mais Gaara, il ne connaissait pas ça. Pire, il n’était pas intéressé ? Pire… elle ne sait pas. Ce qu’elle voit en lui, ça la perturbe très clairement. La main de Gaara sur son sein est chaude. Elle mêle ses doigts avec ceux de l’homme et les « referme » sur la courbe de sa poitrine. Elle fait un doux sourire.

- Ce que ça m’apporte ? Je n’en sais rien. C’est quelque chose dans tes yeux… J’ai l’impression que ça te ferait du bien, de comprendre que l’on pouvait vouloir te toucher, te caresse, te faire l’amour. Cette lueur dans tes yeux, elle me touche au cœur…

Et elle fait bouger le doigt de Gaara le plus proche de son cœur avant de sourire encore une fois. Elle se rapproche de lui. Elle se colle à lui, laissant la main de l’homme contre sa poitrine. Elle le coince contre l’homme et elle pousse son nez avec le sien. Elle le pousse contre le mur, elle a une main encore sur son sein et l’autre derrière Gaara, et elle s’approche.

- Ce qui est important dans le baiser, c’est qu’il soit consenti et désiré par les deux parties. Ce qui importe, c’est que tu le désires, qu’importe la bonne raison à avancer. L’important, c’est que ça fasse du bien. Que ça remplisse le corps de sensation, que ça réchauffe.

Elle s’approche encore, passe ses lèvres sur sa joue. Il avait une peau si douce. Une peau de bébé. Elle était pure. Immaculé. Et quelque chose en elle vibra quand elle réalisa qu’elle serait les premières lèvres qui toucheront cette peau. Elle glisse de la joue, un poil sous le nez, à ses lèvres. Elle glisse sur ses lèvres, caresse sa peau avant de sortir à peine la langue pour demander à Gaara d’ouvrir la bouche. Elle est délicate. Vraiment délicate. Elle est douce quand elle passe sa langue sur ses lèvres. Elle attend d’être sûre qu’il l’autorise. Elle l’avait dit. Le plus important dans un baiser, dans tout acte sexuel, dans tout contact, c’était le consentement. Bon. Elle l’avait touché en se rapprochant de son corps, tout à l’heure, et avec sa main, mais … elle avait été assez délicate pour lui laisser l’occasion de se défaire quand il veut. Il ne le fait pas… et elle lui apprend. Plus tard, elle sera plus attentive encore, pour le moment… Elle veut cette langue rose dans sa bouche pour danser avec elle.

- Laisse-toi aller.


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Mer 3 Jan - 21:54

Gaara de Suna
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C’est mou. C’est le premier truc qui passe dans la tête du fort fatigué kazekage alors qu’Eula referme ses doigts sur sa poitrine et qu’il peut apprécier la euh … texture ? de son sein ? Il ne sait pas trop ce qu’il doit en penser, Gaara. Il constate. C’est chaud, c’est tendre (pas dans le sens doux, mais tendre/mou comme un bon steak quoi. OUI BON IL FAIT LES COMPARAISONS QU’IL PEUT, HEIN !!) Il relève ses yeux jusque là posés sur la poitrine de la jeune femme vers ses yeux. Réfléchissant à ce qu’elle vient de lui dire. Oui. Certainement que oui, ça devrait lui faire du bien. Il ne va pas nier que le soudain intérêt, certes insistant, de la princesse à son sujet est en quelque sorte agréable. Il est bien au courant que c’est plus pour son corps et son … “éventuel besoin” qu’elle s’intéresse à lui. Mais … Et bien elle s’intéresse à lui. Elle n’a pas peur. Elle n’a pas d’intérêt politique, ou militaire, à s’intéresser à lui. Donc, oui, il peut remarquer malgré la fatigue et l’étrangeté de la situation, que l’espèce de désir que la jeune femme à envers lui, est agréable. Alors quand elle lui explique les pré-requis à un baiser, il se dit qu’il en a quelques-uns. Parce qu’elle le réchauffe déjà, et que c’est déjà agréable. Donc.

“D’accord. Embrasse-moi alors.”

Comme ça, c’est consenti et désiré non ? S’il le dit. Sans mentir, hein, parce que Gaara ne ment pas. Jamais. Même quand il ne s’en rend pas bien compte, comme maintenant. Parce que OUI techniquement, au fond de lui, disons animalement, il a envie de l’embrasser. De tester. Même si sa raison pèse lourd sur cette envie comme pour la brider. A devoir se contrôler constamment et refouler ses émotions pour ne pas titiller les mauvais instincts de son démon. Y a plus de démon. Mais après dix-huit ans de retenue … et bien il continue de se retenir sans même s’en rendre compte. Mais Eula le pousse et l’autorise. Alors il fait. Demande (même si ça plus l’air d’un ordre, erm) ce baiser. Et plus, il recule son sable. Gaara du désert, le maître de la défense, se protégeant constamment de sable, en TOUTES circonstances, débarrasse son visage de la poudre de silice qui le couvre. Et il laisse Eula approcher. Il la laisse faire.

C’est chaud. Il constate encore. Son sein est chaud, son corps est chaud, ses lèvres sont chaudes. Sa le frappe presque à chaque fois qu’on le touche. Comme la main d’Hinata. Mais il y a autre chose en plus. Bien qu’il soit foutuement incapable de comprendre ce que c’est et même de le définir. Quelque chose qui se fait ressentir plus fort quand la langue d’Eula glisse sur ses lèvres, et que la chaleur commence aussi à venir de lui-même.

“D'accord.”

Il dit d’accord, mais il n’est pas bien certain de ce que ça veut dire, se laisser aller. Gaara essaye déjà de lâcher la tension sur ses muscles qui le maintiennent tendu (et pas de la façon qu’Eula voudrait, haha). Il essaye de se détendre donc, de répondre à la caresse de leurs lèvres et de euh, lècher, à peine, celle de la jeune femme. Et bouge, à peine, doucement, ses doigts sur la poitrine de la jeune femme. Presse à peine, doucement (c’est le mot oui !!!) puis les fait glisser un peu, comme une caresse. C’est … ça pourrait être agréable si … il n’avait pas autant peur. La peur, elle en avait parlé. Ouais, ok, là, il la sent bien, la peur de faire n’importe quoi et qu’elle le repousse. Il a peur d’être repoussé. Pire. Accepter, puis repousser. Alors il le fait en premier. Recule son visage sans qu’aucune langue ne se soit introduite dans la bouche de personne (mais à vrai dire, lui-même n’en aurait absolument jamais eu l’idée.) Il lâche la poitrine d’Eula avec une forme de regret qu’il dissimule vite. Ses mains vont se poser sur les bras de la princesse, au niveau des coudes, et il la repousse. Toujours très délicatement mais fermement. C’est sans appel. Il se décolle du mur et retourne sonder les pupilles dilatées d’Eula avec une appréhension à peine cachée.

“Merci, Eula. C’est … c’est agréable, je crois. Mais il est temps d’aller se coucher. Chacun de son côté.”

PAS COMPLÈTEMENT CON, HEIN ! Il précise, quand même, avec un tout petit sourire amusé. Mais cette petite “blague” suit des remerciements et une “analyse”. Et une bonne excuse pour qu’ils se séparent, maintenant. Pour dissimuler l’angoisse qui vient de le piquer au cœur. Il la lâche, laissant le bout de ses doigts glisser sur les avant-bras de la princesse, juste par curiosité de voir ce que ça fait, ça, comme geste. C’est apaisant. Ouais. Bref.

“Merci, Eula. Bonne nuit.”

Il se répète, mais tant pis. Gaara fait un signe salutation de la tête, et puis il s’en va, en la laissant là. Sauf que même si c’est lui qui part, il a quand même l’impression d’être “abandonné”, la solitude revenant en même temps que le sable sur ses joues, et ses lèvres.
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