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Quand le destin décide de se foutre de toi (Arthécate)

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Mer 1 Nov - 16:47

Phillip
Ford

J'ai 37 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt moyen.

Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague.

Quand le destin décide de se foutre de toi (Arthécate) - Page 16 A47633b0b8193bf0_5
J’avais envie de hurler. Pourquoi elle s’entêtait à voir que le négatif? C’était rageant à la fin! Je soupirais et je roulais des yeux. Oui elle était partie, mais elle devait faire le point sur ce que nos connards de patron avaient fait! Pas parce que je la suppliais à genoux de me prendre comme mari. Merde c’est deux choses différentes! Je lui apportais mes arguments, qui n’était pas à négliger, je me trouvais même super de les exposer aussi facilement. Non elle les détruisaient un à un. Elle les pulvérisait comme si c’était de vulgaires monticules de sable.

- Putin mais arrête de dire que tu es un boulet!! m’exclamais-je en relâchant son visage levant les mains au ciel, exaspéré qu’elle me serve cette excuse de merde.

Et maintenant elle me sortait qu’elle ne voulait pas m’écorcher au passage. Qu’elle ne voulait pas être responsable de ma descente aux enfers et elle ne voulais pas me savoir malheureux parce qu’elle avait été maladroite. Chaque mot me heurtait comme des lames de couteau.

- Tu penses vraiment que je referais la même chose? Putin tu me connais vraiment mal finalement. La balle que j’ai pris c’est parce que j’ai voulu te protéger, protéger ma partenaire! je pris ma veste d’un geste rageur et l’enfilait rapidement, je vais aller chez-moi j’ai peur que je dises des choses que je regretterais. On reparlera quand son sera plus calme. Bonne soirée Taylor.

Et on ne parlera plus. J’entrais au boulot et un matin, j’eus la nouvelle que Taylor avait demandé sa mutation dans un autre poste. Certains voulurent organisé un pot de départ mais la capitaine nous dis qu’elle était déjà partie. Elle ne voulait pas me rendre malheureux… bien elle avait échoué lamentablement. J’étais anéanti. Même pas un message, même pas un texto, même pas une carte, une lettre. Rien. Je ravalai ma tristesse, ma colère et mon ressentiment et retournai à mes dossiers. Pendant les semaines suivantes j’avais été tenté de lui envoyer un message mais quand je voulais l’envoyer, je finissais par l’effacer tellement il était empreint de colère et de hargne. Je ne plongeais pas comme elle l’avait pensé, mais je me noyais dans le boulot. Je refusais obstinément un partenaire pendant des mois, jusqu’à ce que la capitaine me colle un bleu entre les pattes. Certes la colère c’était atténuée mais je gardais une distance avec ce jeune qui ne demandait qu’à apprendre. Je fis mon devoir de partenaire, je faisais mon boulot comme il le fallait. Les jours faisaient place aux semaines et au mois. J’ai même tenté d’être en couple mais ça ne durait jamais plus que quelques semaines, 2 mois tout au plus. Je les trouvais fade, insignifiantes, sans caractère… Elles n’étaient pas Taylor. Je rompais simplement n’éprouvant rien sauf le sentiment d’être un gros connard sans-coeur. Mes soeurs tentèrent de me ramener à la raison mais je ne voulais rien entendre. Si elle ne me voulait pas, alors je n’aurais personne. En fait je ne voulais personne.

Après ses mois d’errance à ne faire que mon boulot la Capitaine me fit venir dans le bureau et j’y trouvais un homme avec elle qui se présenta comme le directeur des Cold Case du FBI. J’avais haussé un sourcil en me demandant ce que le FBI pouvait bien me vouloir moi un petit enquêteur de poste de police. Il m’offrait un job dit-il en me tendant une feuille.

- Capitaine Stevens, nous a dressé un beau portrait de votre carrière agent Ford. Vous êtes déterminé et vous ne lâchez pas le morceau. Vous avez un beau résultat d’enquêtes résolues et votre profil est très intéressant.

- Mais je n’ai jamais postulé…

- Nous avons des chasseur de tête Agent Ford. Je n’attends pas une réponse immédiatement. Prenez le temps d’y penser. Voici ma carte, appelez-moi quand vous aurez pris votre décision.


1 AN PLUS TARD

J’avais tellement tout retourné dans ma tête. J’aimais mon boulot, beaucoup même. J’avais pesé le pour, le contre mais je devais bien admettre que cette opportunité n’arrivait pas deux fois dans une vie. J’avais fini par accepter et j’étais présentement devant la bâtisse du FBI me disant que c’était maintenant ici mon avenir. Qui sait, peut-être trouverais-je une gentille fille et finir par bâtir une vie de famille. En tout cas c’était un excellent moyen pour recommencer à neuf. J’allais donc à l’étage de mon supérieur et je toquai doucement et fut accueilli avec un sourire. Je lu mon contrat, le signais et on m’expliqua le travail. Bon en fait j’avais compris que c’était de réglé des cas de causes non-résolues. On prit donc un couloir, me faisant visiter les lieux. On me dit même que le café était dégueulasse mais efficace contre la fatigue. Du café de poste finalement. On déboula dans un autre couloir, puis un autre. J’étais déjà perdu et ça ne faisait que quelques minutes que j’étais ici.

- Voilà votre bureau et votre partenaire. Agent Martinez.

Il n’avait pas eu besoin de me la présenter. J’avais reconnu sa petite tête. C’est pas possible… J’étais encore coincé avec elle?

- Vous vous connaissez?

- On a… on a bossé ensemble dans une autre vie.

- AH! Alors j’ai la meilleure équipe pour résoudre les cas. Je vous laisse renouer alors! Bienvenue Agent Ford.


*Non… je n’ai pas envie de renouer* pensais-je.

Je posai ma boîte, toute petite, sur le bureau et la défit lentement. Posant les photos, le petit pot à crayon, sorti mes bloc de papiers, quelques babioles et posai la boîte à mes côtés. Je ne savais même pas quoi dire. Enfin si… mais c’était des phrases assassines. J’ouvris mon ordinateur et regardais le mot de passe qu’ils m’avaient donné.

- Je vois que c’est ici que tu te cache… dis-je platement en regardant mon écran. Je m’en voulais déjà de la manière dont je lui parlais. Je veux juste que tu sache que je n’ai pas eu de descente aux enfers comme tu l’as prédit.

Je tournai mon regard vers elle en m’appuyant au dossier de ma chaise. Je pouvais dire quoi sinon? Hé! Je suis content qu’on fasse de nouveau équipe ensemble! Non pas spécialement, surtout si c’est pour me faire rembarrer à chaque putin de phrases.
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Mer 1 Nov - 17:24

Taylor Martinez
J'ai 35 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice pour le FBI et je m'en sors très bien. Je suis célibataire et je le vis plutôt parfaitement bien!





Informations supplémentaires ici.


Je n'avais pas cherché à le retenir… À quoi bon ? Aucun de nous n'était vraiment capable de comprendre l'autre. Mieux valait que l'on s'arrête là pour passer à autre chose…

Je fis ce que je savais faire de mieux. Je pris tout simplement la fuite. Je décidais d'adresser ma démission avant d'accepter le poste offert par le FBI. J'y entamait alors une nouvelle formation afin de monter plus facilement en grade… Pour combler le manque et la solitude, je sortais beaucoup… Probablement beaucoup trop. Je fis plusieurs rencontres, des relations qui ne duraient jamais bien longtemps. Je ne tenais pas à m'impliquer sentimentalement dans quoique ce soit… Jamais.

J'aimais mon nouveau boulot pour lequel naquit rapidement une certaine passion… L'équipe du bureau était tout simplement incroyable, jamais auparavant je n'avais connu pareille ambiance au milieu de tant de personnes compétentes et diablement intéressantes. Je pris cela pour un renouveau dans lequel je pus m'épanouir librement.

J'intégrais l'équipe sans binôme attitré, ce qui me convenait parfaitement. Je pensais d'ailleurs que cela resterait ainsi jusqu'à ce que l'on me présente une bouille des plus familière… "Et merde", me dis-je en voyant sa mine renfrognée lorsqu'il m'aperçu.

Je ne me cache pas, rétorquais-je en me relevant pour lui faire plus de place sur ce bureau inutilisé depuis… Toujours. Il servait même de zone de stockage aux différents dossiers de l'équipe. Ravie d'apprendre de que tu vas bien.

J'entassais quelques dossiers avant de les récupérer pour les emmener plus loin. En passant devant Sandra Jefferson, l'une de mes collègues, celle-ci m'arrêta brusquement pour savoir qui était ce "beau mâle".

Phillip Ford, il vient de la criminelle, rétorquais-je simplement.
Tu crois qu'il a quelqu'un ?
Aucune idée… Demande-lui directement ?

Je quittais l'espace pour rejoindre la petite zone réservée à l'archivage temporaire afin d'y déposer tout ce joli bordel. Pendant ce temps, la jolie blonde sautillait presque dans la direction du petit nouveau.

Sandra Jefferson, lança-t-elle en lui tendant une main amicale. Alors comme ça, tu connais notre petite Taylor … Vous bossiez ensemble, si j'ai bien compris ? On a une petite tradition ici, chaque fois que l'on accueille un nouveau, on sort boire un verre tous ensembles… Du coup, tu es disponible ce soir ?

Petit regard papillon et grand sourire, Sandra venait de se lancer un défi personnel.

Hey, Martinez ! me demanda-t-elle. Tu es dispo toi ?
Je suppose que oui… répondis-je en haussant les épaules.

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Jeu 2 Nov - 5:18

Phillip
Ford

J'ai 38 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur au FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt moyen.

Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague.

Quand le destin décide de se foutre de toi (Arthécate) - Page 16 A47633b0b8193bf0_5
Jamais de ma vie je n’aurais pensé que Taylor aurait été ici, et encore moins que je serais encore collé à elle. Quand le destin se mettait de la partie… Je peux vous dire qu’il avait un sens de l’humour de merde ce destin. En voyant sa petite tête je sentis mon coeur s’arrêter en me disant que c’était impossible. Cependant je devais bien me rendre à l’évidence, j’allais devoir bosser avec elle. Je disposai mes effets sans vraiment un regard pour elle et pour m’asseoir à mon poste pour ouvrir mon ordinateur et lui dire platement que c’était ici qu’elle se cachait. À sa réponse je fis un petit rire sarcastique, mais ouais tu te cache pas.. Sûrement pour cette raison que je n’ai jamais eu une putin de nouvelles tiens! Connerie… Je tournai mon regard vers elle quand elle me répondit qu’elle était ravie que j’aille bien. Je dus me mordre les lèvres pour dire que j’allais bien AVANT d’entrer ici.

- Maintenant je vais bien…

Dis-je sèchement en retournant mon regard sur l’écran cathodique décidant de me la boucler. Je pourrais tout lui balancer à la gueule mais je préférais ne rien faire. De un:C’était ma première journée. De deux: Elle allait me dire qu’elle avait finalement raison, qu’elle est toxique. Enfin je prenais connaissance du système pour me familiariser avec quand une belle grande blonde arriva dans le bureau avec un grand sourire. Ah bien au moins, une qui semblait ravie de voir un nouveau visage. Je me levai et lui offrit moi aussi un sourire enchanté en serrant sa main chaleureusement.

- Alors enchanté, Sandra Jefferson, Phillip Ford fraîchement débarqué de la criminelle de Chicago. dis-je le plus amicalement que je pouvais. Bien… comme c’est une tradition, je serais bien méchant de la briser. Ça me ferait plaisir de prendre un verre.

Je tournais mon regard vers Taylor quand elle répondit à Sandra et haussai un sourcil. Hé bien! Elle sortait maintenant? Je ne sais pas si je devais être surpris ou simplement agacé de ce changement. Quand Sandra se retourna vers moi je plaquai un grand sourire sur mon visage.

- Parfait! Alors on se voit au bar alors! Il est en bas de la rue, Taylor te montreras. Bienvenue au FBI Phillip Ford!

* Non je ne veux pas qu’elle me montre…* pensais-je

Je la remerciai gentiment en la regardant s’éloigner en sautillant me faisant sourire doucement. Au moins elle avait l’air plaisante à discuter avec. Je repris ma place redevenant sérieux, mon regard parcourant l’écran sur les dossiers ouverts. Des cas de meurtres, de disparitions, d’agressions sexuelles et tout un tas de trucs tout aussi joyeux. Bon…. maintenant qu’on était seuls… je disais quoi? J’avais toujours été ce mec sociable, qui aimait les belles relations et tout, et tout. Mais on faisait comment quand la seule fille qui vous avait plu, avait quitté sans même un mot? Au fond je m’étais royalement planté! Elle avait fait comme Mandy. Elle était parti.. non Mandy avait au moins eue la décence de me laisser une note. Oui un simple “Je te quitte, j’en peux plus” mais un mot quand même. Donc elle avait fait bien pire. J’allais faire comme elle tiens: Juste bosser et ne rien tenter. Elle me l’avait bien fait comprendre. Pas d’amitié, pas de relations, rien dans ma vie sauf le boulot.

- Alors on bosse sur quoi? dis-je tout simplement

Je me tournai vers elle adossé à ma chaise en jouant avec un stylo entre mes mains. Je gardais un regard que je tentais neutre mais putin que j’avais du mal à ne pas moi-même lui sauter à la gueule. Professionnel Phil… rien de plus… tu iras courir ce soir. Non demain, tu a accepté de prendre un verre comme un con. Merde!
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Jeu 2 Nov - 6:01

Taylor Martinez
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Alors, on bosse sur quoi? me lança-t-il sur un ton qui se voulait probablement neutre mais qui reflétait très clairement sa colère à mon égard.

Bon sang, j'avais presque fini par oublier à quel point il pouvait se comporter comme un gosse… Cependant, il n'aura pas fallu bien longtemps pour se rappeler à mon "bon" souvenir. Je voyais bien que le fait de se retrouver devant moi le faisait chier… C'était clair comme de l'eau de roche et je ne devais pas être la seule à m'en être aperçue. Je pris sur moi, vraiment… Déjà parce que j'étais tout à fait consciente qu'il avait tout de même des raisons de m'en vouloir… Mais aussi parce que j'aimais vraiment ce boulot et qu'il était hors de question pour moi de le perdre ou de la voir gâché par une histoire venant du passé.

Ça suffit, viens avec moi, lui dis-je avant de l'entraîner dans le couloir, jusqu'à une petite pièce isolée et surtout inoccupée.

Une fois la porte refermée, je me plantais devant lui, les bras croisés.

Balance-moi tout ce que tu as à me dire, t'as cinq minutes. Tu peux m'insulter autant que tu veux, me maudire si tu le souhaites mais après ça, tu te comporteras comme le professionnel qui a gagné sa place ici. Je sais que tu m'en veux, et il y a de bonnes raisons à cela, crois-moi, j'en suis consciente. Mais il est hors de question que je bosse avec toi si tu dois te comporter comme un gamin !

Ce que je ne savais pas, en renfermant cette porte, c'était qu'elle était dotée d'un verrouillage automatique qui ne pouvait se débloquer que depuis l'extérieur. Il va de soi que si j'avais eu cette information en ma possession, jamais je ne l'aurais conduit jusqu'ici … Je n'étais tout de même pas assez folle pour m'enfermer volontairement avec l'homme qui me détestait le plus au monde…

Cinq minutes, je t'écoute. A moins que tu préfères que l'on descende au dojo pour se taper directement sur la gueule, t'as le choix, tu vois.

J'avais beaucoup changé en une petite année. Je sortais, fréquentais quelques hommes, j'avais des amis aussi… Cette rupture m'avait forcé à revoir mon existence dans son intégralité pour éviter de vriller complètement. En revanche, pour mon caractère de merde, je n'avais rien pu faire ..



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Jeu 2 Nov - 7:10

Phillip
Ford

J'ai 38 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur au FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt moyen.

Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague.

Quand le destin décide de se foutre de toi (Arthécate) - Page 16 A47633b0b8193bf0_5
Je n’avais même pas envie de parler de tout ça. Je voulais juste prendre connaissance du boulot, le faire et retourner à la maison… après le verre de merde que j’avais accepté. Professionnel point barre! Pas plus, pas moins. J’allais faire mon taff comme je l’ai toujours fait mais sans tenter de nouer des liens avec la personne qui a décidé de les rompre. Quand elle me dit de la suivre, j'eus envie de lui dire un simple “Non. On bosse!” mais je soupirais en roulant des yeux. Pourquoi encore s’expliquer? J’allais avoir tous les torts de toute façon. Mais je la suivais quand même comme le pauvre imbécile que je suis et tout ça pour me retrouver coincé dans une pièce avec elle. Mais que de joie tiens!! Lui dire tout ce que j’ai à lui dire en cinq minutes? C’est bien trop court! J’avais un an de ressentiment sur le cœur! Je soufflais un rire de mépris en secouant la tête et en croisant les bras sur moi. Je sentis un flambée de colère quand elle me ramena le gamin en pleine gueule. Tiens ça ne lui a pas pris de temps pour me le servir celui-là.

Debout devant moi, les bras croisés, elle me parlait comme si elle était ma mère et pour vrai… ça me gonflait comme pas possible. Ouais, ouais j’ai compris cinq minutes,

- Je ne tape pas les femmes…

Quoique l’idée de frapper était vachement tentante. Mais sur un sac de frappe. Pas sur elle. Elle était toute menue. Si je la frappais elle allait casser en mille morceaux. Non valait mieux pas. Cependant j’étais coincé entre deux étagère et un vieux bureau où j’allais m’appuyer les bras toujours croisés.

- Tu veux que je te parle d’un an en cinq minutes? dis-je en dardant mon regard glacial dans le sien, Parfait faisons comme ça alors Martinez.

Je pris une grande inspiration avant de parler.

- Je t’en veux et tu n’as même pas idée comment je peux t’en vouloir. Je me suis ouvert à toi comme jamais je ne l’avais fait. J’avais le mince espoir, tout petit que tu entende raison. Mais comme le pauvre débile que je suis je me suis fait avoir encore une fois. Est-ce que tu sais que tu as justement fait PIRE que mon ex? Elle au moins avait eue la décence d’au moins me laisser une note. Pas super joyeux mais au moins elle l’a fait. Mais toi…

Un autre rire de colère franchi mes lèvres alors que je baissai le regard sur mes chaussures en secouant la tête. Je le relevai vers elle et le plantai dans le sien.

- Même pas un mot, pas de texto même pas une carte pour m'expliquer. Toi tu as bien achevé de me détruire. Tu ne me voulais pas malheureux… je ne l’ai pas été. J’ai été anéanti… complètement. C’est vrai que je ne me suis pas noyé dans l’alcool mais je me suis noyé dans le boulot en me coupant de tout le monde. Comme tu le fais si bien toi-même.. ou faisait qu’est-ce que j’en sais maintenant! dis-je en haussant les épaules. Donc avant de dire que je fais le gamin, regarde ce que TU as fait toi pour que je sois ainsi. Je sais même pas si quelque par dans ta vie j'ai compté ailleurs qu'au boulot.

Je m’étais redressé mon regard dans le sien et…. putin de merde même encore elle était plus belle qu’il y a un an! Mais je ne me ferais plus avoir. OH! Que non!

- Tu as voulu que je m’éloigne de toi. Bien je me suis coupé de tout le monde. Je n’ai pas envie de faire copain-copain, je n’ai pas envie d’avoir une copine parce que de toute façon tu m’as bien fait comprendre comment je pouvais être rêveur et stupide. Donc le peu que j’ai fréquenté je les ai laissé mais je n’éprouvais absolument rien sauf que j’étais un putin de connard sans-cœur. Tu n’as même pas idée du nombre de fois que j’ai écrit des messages sans te les envoyé tellement j’étais… je fis une pause pour me racler la gorge et reprendre sur moi, tellement j’étais en colère contre toi. Je t’ai détesté au point que je ne pensais jamais détesté quelqu’un.

La gorge me serrait mais je ne pleurais pas, je n’avais même pas de larmes. Je ne pleurais pas pour une fuyarde.

- Tu voulais que je te balance tout? C’est ça. Tu es une trouillarde, tu ne donnes aucune chance à personne et en plus… la seule personne qui t’a porté un intérêt, ton collègue, peut-être un ami tiens pourquoi pas, bien tu as décidé de juste foutre un beau bordel dans sa vie. Si c’est ce que tu voulais, bravo tu as admirablement bien réussi. Si tu ne voulais pas me rendre malheureux là tu à échoué lamentablement.

Sans m’en rendre compte je m’étais rapproché d’elle et mon regard était dans le sien.

- Maintenant on va faire comme tu veux. Bosser. Parce que je doutes que tu fasse bien autre choses que ça…
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Jeu 2 Nov - 7:44

Taylor Martinez
J'ai 35 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice pour le FBI et je m'en sors très bien. Je suis célibataire et je le vis plutôt parfaitement bien!





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Sa colère, je l'acceptais entièrement… Je la méritais après tout. Il me détestait et il avait bien raison de le faire. J'encaissais chacune de ses remarques sans broncher, mon regard planté dans le sien.

J'avais fait pire que son ex. Évidemment. Sans cela, il aurait probablement essayé de me retenir. J'avais bien essayé de lui envoyer des messages, lui écrire une lettre, mais les mots ne suffisaient clairement pas à exprimer ce que je ressentais à ce moment-là. Il était anéanti… Je l'étais aussi. Sauf que moi, je n'avais pas le droit d'être en colère puisque la décision venait de moi.

Pourtant, je lui avais écrit, à de nombreuses reprises. Tous les jours en réalité, pendant des mois… Des mails qui s'étaient entassés dans mes brouillons sans que je ne trouve le courage de les effacer. Néanmoins, je fus bien triste de l'entendre se rabaisser ainsi… Je n'ai jamais voulu une telle chose. Au contraire, j'avais espéré qu'il trouve une fille bien, qui lui apporte tout ce dont il avait besoin… Tout ce qu'il méritait.

Il me détestait… Aoutch, ça par contre, ça faisait mal… Mais là encore, je m'efforçais de l'accepter… Que pouvais-je faire d'autre après tout ?

Ok. Je l'ai mérité, soufflais-je alors qu'il se trouvait tout près de moi… vraiment très près.

J'avais décroisé mes bras … Quand ça ? Je ne saurais le dire… J'avais bougé sans même m'en rendre compte parce que … J'en sais rien. Mais il était là, devant moi… Et il n'avait aucune idée d'à quel point je m'en voulais. Il me détestait, oui…Cependant, je me détestais plus encore. Il m'avait manqué comme personne avant lui… Parce que oui, je l'ai aimé… Plus que ce que je ne voulais voir.

Je suis désolée, sincèrement… Même si je me doute bien que tu te fiches de mes excuses. C'est ton droit.

Ma respiration s'était faite plus profonde, ma voix plus grave…Il était si proche…

Moi aussi, j'ai voulu t'envoyer des messages, des tas… Sauf que… Merde, j'avais pas le droit de le faire après être partie comme ça. Je n'osais pas… Tout simplement. Mais si tu veux les voir, te prives pas…

Mouais, je doutais fort qu'il veuille les lire maintenant qu'il éprouvait tant de colère après moi. Et puis… Je ne voulais pas spécialement qu'il me pardonne. Je lui avais fait suffisamment de mal comme cela et je ne tenais pas à en rajouter.

Bref, si tu préfères qu'on ne bosse pas ensemble, je peux en discuter avec le capitaine. Il comprendra sans grand problème si je lui explique…


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Jeu 2 Nov - 8:42

Phillip
Ford

J'ai 38 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur au FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt moyen.

Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague.

Quand le destin décide de se foutre de toi (Arthécate) - Page 16 A47633b0b8193bf0_5
Elle voulait que je parle, que je lui balance tout à la gueule. C’est ce que je fis. En fait, c'était plus un volcan de colère que je lui lançais à la gueule. Un torrent de lave de colère, de ressentiment, de peine, de rejet et tout un tas d’autres émotions que je cachais derrière une hargne bien puissante et bien sentit. J’avais envie qu’elle réagisse, qu’elle me crie dessus. Je voulais la faire réagir, qu’elle me démontre qu’elle était humaine et… et je ne sais pas trop en fait mais pas qu’elle reste là bêtement muette. Qu’elle m’arrête d’un “FORD!” bien senti, qu’elle me dise encore d’arrêter de faire le gamin pourri, que j’avais un caractère de merde. Je ne sais pas mais qu’elle parle bordel! Non, au lieu de ça elle me souffla un simple “Je l’ai mérité” comme résignée. MAIS RÉAGIS MERDE!!!!

Dis-moi que les baisers qu’on a échangés n’étaient pas rien. Dis-moi que la nuit qu’on a passé ensemble, ce n'était pas seulement pour me foutre dans ton lit. Dis-moi que tout ce que j’ai ressenti n’était pas que du vent. Je t’en prie… dis-moi quelque chose pour qu’au moins je me dise “C’est bon ça suffit”. Non que cette phrase de merde qui n’atténuait pas la colère que j’avais. Est-ce que ça se calmait ça un jour? Elle s’excusait, sincèrement en plus! Je ne me fichais pas de ses excuses, je m’en torchais le cul royalement!

- C’est trop facile ça… murmurais-je entre mes dents

Beaucoup trop facile même! C’est facile de dire “Je suis désolé” une fois qu’on voit l’étendue des dégâts qu’on a causé sans même ce demander comment l’autre prendrait cette fuite de merde. Dans le pire de mes moments je lui avais même souhaité la même chose… peut-être que c’était moi qui le faisais en ce moment même? Je n’avais pas envie de me creuser la tête à explorer cette question. Elle me figea d’un coup en me disant qu’elle aussi avait voulu m’envoyer des messages, des tas. DES TAS!!! Elle osait me dire ça en face en plus!!! Connerie, c’était des putins de conneries! Je me reculai de deux pas, me passant une main au visage. Il fallait que je me contienne sinon j’allais faire éclater tout ce qu’il y avait ici.

- Tu étais dans L’OBLIGATION de le faire Martinez! dis-je entre mes dents serrées et en la pointant du doigt. Au moins pour le peu de considération que j’ai eu. Qu’est-ce que je dis là! J’en ai même pas, vu comment j’ai été traité!

Non je n’avais pas dit que je ne voulais pas les voir. Elle pouvait bien faire ce qu’elle voulait avec. Les supprimer, les imprimer et se faire un beau feu de joie, se torcher le cul avec si elle voulait je m’en contre-fou. Du moins… sur le moment. Je m’étais tourné de côté une main appuyé sur le bureau en me pinçant l’arrête du nez. Elle avait écris mais rien envoyer.

- Tu penses vraiment aussi stupide? J’aurais compris si j’avais eu ne serait-ce qu’un brève explication. dit-je en tournant la tête vers elle. En fait je penses que c’est ça. Tu penses sutpide et imbécile… un gamin quoi.

Mon regard la dardait comme des couteaux et quand elle ajouta qu’elle pourrait parler au capitaine pour qu’on ne bosse pas ensemble, un rire sarcastique souffla entre mes lèvres.

- Ça te ferait bien trop plaisir que je dise oui. ajoutais-je en me tournant complètement vers elle, Je t’ai dis qu’on va faire comme tu veux. Bosser. C’est tout. Tu sais aussi bien que moi que personne n’est aussi compétent que nous deux ensembles.

Je m’étais encore rapproché. Quand? Quand est-ce que je m’étais avancé? Pas la moindre idée! Mais je ne bougeai pas. Je n’allais clairement pas fuir. Je n’étais pas comme elle. J’étais un battant, un putin d’entêté de merde mais non je ne fuirais pas comme la lâche qu’elle est.
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Jeu 2 Nov - 9:08

Taylor Martinez
J'ai 35 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice pour le FBI et je m'en sors très bien. Je suis célibataire et je le vis plutôt parfaitement bien!





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Je me doutais bien qu'il n'aurait que faire de mes excuses. Je le savais et pourtant, je ne pouvais les contenir. Je ne voulais pas qu'il pense qu'il n'avait aucunement compté pour moi. C'était faux et totalement injuste de le laisser croire une horreur pareille.

Je t'aimais, sombre crétin, finis-je par gronder à mon tour. Visiblement, il avait toujours cet étrange pouvoir sur mes nerfs… Le don de les faire exploser comme un rien. Et oui, ça m'a fichu la trouille, je ne te l'ai jamais caché, ça ! Et ne me dis pas que tu aurais compris, tu sais aussi bien que moi que c'est faux !

Il aurait cherché à me rassurer et peut-être même y serait-il parvenu, pour un temps… J'étais une idiote, ça, je ne l'ai compris que lorsque j'ai réalisé à quel point il me manquait. J'avais fait de la merde et je me devais de l'assumer… Peut-être était-ce pour cette raison grotesque que j'avais accepté le poste ici plutôt qu'ailleurs. J'essayais probablement de me punir en prenant le risque de retomber sur lui.

J'ai eu tort et j'ai merdé, je le sais et j'en suis désolée. Mais ne va pas croire que c'était plus facile pour moi… Parce que tu m'as manqué ! Parce que j'ai cru étouffer sans toi ! Parce que je fais de la merde depuis un an simplement parce que je ne sais pas quoi faire pour arrêter de penser à toi. C'est de ma faute, je le sais ! Je paye mes erreurs, j'assume mes choix comme je peux…

Fait chier… j'aurais jamais dû lui dire ça … Pas maintenant, pas comme ça… Je lui tournais brusquement le dos avec la ferme intention de quitter cette foutue pièce… Et quand je dis que je faisais de la merde depuis des mois, je n'exagérais rien… Puisque ce fut à ce moment précis que je compris que nous étions enfermés dans cette pièce minuscule… dans une aile du bâtiment où personne ne venait et que mon téléphone ne captait rien dans cette zone-ci.

J'en ai marre, putain ! grognais-je en donnant un coup de pied à une porte en métal… Autant dire que ça faisait mal.




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Jeu 2 Nov - 14:33

Phillip
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J'ai 38 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur au FBI et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt moyen.

Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague.

Quand le destin décide de se foutre de toi (Arthécate) - Page 16 A47633b0b8193bf0_5
Enfin une réction! Une réaction qui me fit presque avaler de travers. “Je t’aimais, sombre crétin”. Je ne pourrais dire exactement l’émotion que j’avais. C’était un mélange de soulagement, de peine qu’elle me le dise maintenant et se “rejet” de ma part. Je ne voulais pas qu’elle me dise ça. Peut-être par peur de me blesser à nouveau, peut-être par crainte que je tombe sous son charme encore et que je me heurte à un mur. J’avais l’impression que mon coeur était plus léger mais qu’on venait de compresser ma poitrine violemment. C’était… bizarre en fait. Juste trop perturbant pour que je sois vindicatif à nouveau avec elle. J’ai voulu protester quand elle me dit que non je n’aurais pas compris mais au fond, si je voulais être honnête avec moi-même: elle avait raison. J’aurais tout tenté pour me faire valoir, la calmer, la rassurer mais ça aurait eu quoi comme résultat au final? Je n’aurais pas été plus capable de la retrouver donc je serais au même point… la colère en moins probablement.

Si j’étais encore bien remonté, elle réussit à faire disparaître ma colère en un coup de vent simplement avec ce qu’elle ajouta ensuite. Je lui avais manqué, elle pensait à moi. J’étais…. bluffé. Voilà! Complètement tétanisé qu’elle me le balance comme ça à la gueule. Mais au fond c’est ce que je voulais non? Qu’elle me le dise, qu’elle me fasse voir que je n’étais pas seulement un coup de passion sans réel attachement. J’étais debout derrière elle comme un con alors qu’elle s’échinait à ouvrir la porte et… rien. Ah bien… de mieux en mieux on était coincé ici! Je pris mon téléphone et… pas de signal. Ah mais vraiment le destin avait le pire humour de merde que j’avais jamais vu! Je rangeais mon téléphone dans la poche de ma veste et relevai le regard quand elle donna un coup de pied à la porte d’un geste rageur. J’avais oublié qu'aussi chiante qu’elle pouvait être, aussi directe qu' elle était. Je n’étais jamais arrivé à rester en colère bien longtemps avec elle. Enfin sauf cette dernière année. Bon on faisait quoi maintenant? On était coincé ici comme des débiles, on n'allait pas rester là muets comme des carpes non plus. J’étendis le bras doucement et la retournai face à moi.

- Tu n’as pas le droit de me tourner le dos Taylor…

Au diable le Martinez que je lui lançais à la gueule depuis tout à l’heure pour la blesser, enfin si tant est que ça la blessait. Ma colère disparue, elle fit place à la tristesse qui avait un goût amer dans ma bouche. Ma main était toujours sur son bras et j’étais si près d’elle que j’étais certain que pas un souffle d’air passait entre nous. Mon regard se plongea dans le sien et, bien que je ne voulais pas me l’admettre il y a quelques minutes, ça avait le même effet hypnotique qu’il y a un an.

- J’ai vraiment cru que je n’avais même jamais un peu compté pour toi. C’est long un an à se dire ça tu sais. J’ai tenté de bien des manières de… t’oublier. dis-je en baissant le regard quelques minutes en cherchant mes mots pour finalement le remonter vers elle, mais il ni en avait pas une qui était… toi.

Je sais c’est complètement con de dire ça mais c’était ce que j’avais fait. Elles étaient trop passionnées, pas assez. Trop molle de caractère ou juste des blocs de béton. Même les filles d’un soir je ne trouvais aucun plaisir si ce n’est qu'à assouvir un besoin purement et simplement. Je m’étais ennuyé de son regard, de son sourire, de ses baisers, de ses caresses, de son caractère de merde, de son ton taquin. De cette femme que j’aimais regarder bosser quand elle était concentrée. Ah puis merde! Je pourrais bien sortir tout les mots du monde il n’y a qu’une manière de l’exprimer. C’est aussi instinctivement et stupidement que je saisis son visage, la plaquai à la porte et pressai mes lèvres aux siennes. Elle n’allait peut-être pas apprécier, elle allait peut-être se débattre auquel cas bien… je subirais ses foudres voilà tout. Si les mots ne suffisaient plus ce baiser à la fois passionné, sauvage et empreint de tout ce que j’avais peu ressentir pour elle, était le plus représentatif. C’est le souffle court, le coeur battant que je rompis le baiser appuyant mon front contre le sien. Son visage toujours prisonnier de mes mains.

- Désolé… c’était plus fort que moi… dis-je en murmurant le souffle irrégulier

Je ne sais pas si c’était LA chose à faire mais… putin que ça faisait du bien! Comme si tout mon être retombait en place. Comme si j’étais enfin complet à nouveau.
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Jeu 2 Nov - 16:28

Taylor Martinez
J'ai 35 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice pour le FBI et je m'en sors très bien. Je suis célibataire et je le vis plutôt parfaitement bien!





Informations supplémentaires ici.


J'avais beau protester, cette fichue porte refusait obstinément de s'ouvrir. À force d'enchaîner les erreurs et les conneries, je me sentais incroyablement stupide. J'étais responsable de tout ça… A croire que je n'étais bonne qu'à attirer les problèmes, pire, je les provoquais, les uns après les autres… Et si encore j'étais seule à en payer les conséquences. Mais non, évidemment, il fallait que je l'entraîne avec moi. Il devait m'en vouloir davantage.

Tu n’as pas le droit de me tourner le dos Taylor… me dit-il après m'avoir poussé à me tourner pour lui faire face…

Dans ses yeux, je ne trouvais plus aucune trace de colère ou de rancœur… Seulement cette profonde tristesse qui vint m'étreindre l'âme.

J’ai vraiment cru que je n’avais même jamais un peu compté pour toi. C’est long un an à se dire ça tu sais. J’ai tenté de bien des manières de… t’oublier.

Je venais de passer une année entière à essayer de me convaincre qu'il n'avait pas compté… Et j'ai eu beau fuir, sortir, faire des rencontres ou me plonger dans le boulot, rien n'y fit. Mais cela, je ne pouvais évidemment pas lui dire… Je ne voulais pas le blesser davantage, pas en devant de nouveau travailler avec lui.

...mais il n'y en avait pas une qui était… toi.

Je plissais les yeux en essayant de comprendre ce qu'il voulait dire… Pourtant, en étant passée par là, moi aussi, il n'y avait rien de compliqué à saisir là-dedans : il ne m'avait tout simplement pas oublié. Malgré le temps, malgré la colère… Il m'aimait toujours.

Cette supposition de ma part se mua rapidement en affirmation … Dès lors que ses lèvres rencontrèrent les miennes. Je me retrouvais alors coincée entre la porte et lui… Impossible pour moi de fuir ou même de tenter de me dérober à ce baiser. Qu'importe, je n'éprouvais pas la moindre envie de m'y soustraire… Au contraire, j'y répondis sans réfléchir, instinctivement, naturellement… Il n'existait alors rien de plus simple que ce baiser… Plus rien n'avait d'importance. Je me fichais bien de l'endroit où nous nous trouvions et de la discussion à laquelle nous nous prêtions jusqu'alors… Je retrouvais le goût de ses lèvres… Son parfum. Sa chaleur. Plus rien ne comptait en dehors de tout ça…

Désolé c’était plus fort que moi…
J'ai vu ça … pouffais-je malgré moi avant de repartir à l'assaut de ses lèvres simplement pour lui faire comprendre que, pour moi aussi, ce baiser était important.

Je le laissais durer… Je n'avais aucune envie d'arrêter… C'était pire que ça… Je voulais plus, beaucoup plus. Mon corps entier réagissait par instinct et je me fichais bien de savoir si l'idée était bonne ou carrément mauvaise.




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